Le rapport sur la santé et la sécuritéVol. 13, No. 7

Sujet d'actualité

Les espaces clos : un danger à ne pas négligerprint this article

De l’air toxique, des vapeurs inflammables, et une seule issue se trouvant de l’autre côté d’une petite ouverture : voilà un des nombreux scénarios pouvant décrire les conditions de travail dans un espace clos. Même si tous les types de milieux de travail comportent des dangers, les espaces clos ont le potentiel d’être encore plus dangereux. Renseignez-vous sur certains des dangers du travail en espaces clos et ce que vous pouvez faire pour maîtriser les risques.

Qu’est-ce qu’un espace clos?
De façon générale, un espace clos est un espace totalement ou partiellement fermé qui n’est pas conçu pour être occupé par des personnes, est muni de voies d’entrée et de sortie restreintes, et peut présenter des risques pour la santé et la sécurité pour quiconque y pénètre, en raison de l’un ou l’autre des facteurs suivants :

  • sa conception, sa construction, son emplacement ou son atmosphère;
  • les matières ou substances qui s’y trouvent;
  • les activités professionnelles qui y sont exécutées;
  • les dangers liés aux mécanismes, aux procédés utilisés, ainsi que les dangers pour la sécurité qui y sont présents.

Presque tous les lieux de travail comportent des espaces clos. Parmi les exemples, on compte les silos, les cuves, les trémies, les galeries techniques, les citernes d’eau, les puits d’eau potable, les réservoirs, les égouts, les canalisations, les puits d’accès, les camions-citernes et les wagons-citernes, les ailes d’avion, les chaudières, les convoyeurs, les caves, les tunnels, les trous d’homme, les fosses à purin, les bacs de stockage et autres espaces similaires où des travailleurs pourraient devoir entrer pour exécuter leurs tâches. Les fossés et les tranchées peuvent également constituer un espace clos lorsqu’il est difficile d’y entrer ou d’en sortir.

DANGERS

Tous les dangers que l’on trouve dans un lieu de travail ordinaire peuvent se trouver aussi dans les espaces clos. Une teneur trop faible ou trop élevée en oxygène, incendie ou explosion, la toxicité et la noyade représentent des principaux dangers associés aux espaces clos.

Oxygène
Une teneur trop faible en oxygène peut entraîner des dommages cérébraux, une perte de conscience et la suffocation. Une teneur en oxygène trop élevée peut augmenter les risques d’incendie ou d’explosion. Souvent, la ventilation naturelle à elle seule ne sera pas suffisante pour conserver une qualité d’air respirable.

Le pourcentage élevé de décès dans les espaces clos résulte d’une teneur en oxygène trop faible ou de l’absence de vérification de la qualité de l’air. Parmi les travailleurs tués chaque année dans des espaces clos, nombreux sont les secouristes qui, souvent, subissent le même sort que les travailleurs en danger qu’ils tentent de secourir.

Incendies et explosions
Une ventilation inadéquate peut mener à une accumulation de gaz ou de poussières qui peuvent s’enflammer lorsqu’ils sont exposés à de l’électricité, à une étincelle de soudage ou à une flamme nue.

Toxicité
Les gaz produits dans le cadre d’activités professionnelles, comme la peinture et le soudage, et les sources comme le purin ou le compost peuvent produire des gaz, comme le sulfure d’hydrogène, le méthane, le monoxyde de carbone, ainsi que des vapeurs de solvant qui causent des étourdissements, une perte de conscience, des effets irréversibles sur la santé, et la mort.

Noyade
En situation d'inondation ou d'engouffrement par un solide qui s'écoule librement (par exemple, des grains dans un silo), l’entrée ou la sortie d’un espace clos peut être obstruée, empêchant ainsi le travailleur de s’échapper à temps. La noyade peut également se produire en cas de chute dans des cuves, des étangs et des fosses de rétention, remplies de liquide.

Plus dangereux que d’autres espaces de travail
Tous ces dangers peuvent ne pas sembler évidents, et c’est pourquoi une personne qualifiée, expérimentée et formée de façon appropriée doit procéder à une évaluation des dangers dans les espaces clos avant que tout travailleur puisse y pénétrer, en tenant compte des facteurs suivants :

  • L’auto-sauvetage par le travailleur lui-même est plus difficile à effectuer.
  • Le sauvetage de la victime est plus difficile à effectuer. Souvent, la configuration intérieure de l’espace clos n’y favorise pas une libre circulation de personnes et d’équipement.
  • Les conditions peuvent changer très rapidement et sans avertissement.
  • Les lieux entourant l’espace clos peuvent influer sur les conditions existant à l’intérieur et vice-versa.
  • Les travaux peuvent provoquer des risques qui n’étaient pas présents au départ.

Il faut tenir compte de nombreux facteurs au moment de relever les dangers dans un espace clos. Une erreur dans l'identification ou l'évaluation des dangers potentiels peut mettre en péril la vie d'un travailleur.

Préparation et prévention
Pour maîtriser efficacement les risques associés au travail dans les espaces clos, il vaut mieux utiliser un Programme d’évaluation et de maîtrise des dangers dans les espaces clos. Avant de mettre sur pied un tel programme, il faut s’assurer d’examiner la règlementation connexe applicable à votre milieu de travail. Toutes les réglementations en vigueur au Canada varient en ce qui concerne l’entrée dans un espace clos.

Un travailleur doit éviter d’entrer dans un espace clos avant que des précautions aient été prises pour qu’il soit sécuritaire de le faire.

Pour chaque tâche, mieux vaut déterminer s’il est absolument nécessaire que le travail soit exécuté à l’intérieur de l’espace clos. Dans certains cas, il est possible de faire le travail à l’extérieur de l’espace clos.

La qualité de l’air doit être vérifiée par une personne qualifiée, formée pour utiliser de l’équipement de détection. Il faut toujours vérifier que l’équipement d’analyse est correctement calibré et entretenu. L’échantillonnage de l’air doit montrer que la teneur en oxygène dans l’espace clos correspond aux limites sécuritaires, qu’il n’y a pas de gaz dangereux et que la ventilation fonctionne adéquatement. Cette analyse doit se faire sur une base continue pendant les travaux.

Alertes au danger

Limitez la poussière lorsque vous coupez du bardage en béton renforcé de fibresprint this article

L'utilisation de bardage en béton renforcé de fibres est en hausse dans le secteur de la construction et de la rénovation, avec de nombreux nouveaux projets de construction faisant appel à ce matériau durable en remplacement du recouvrement en bois. Mais ces produits contiennent 50 % de silice cristalline, et il a été démontré que le fait de couper ce matériau à l'aide d'une scie mécanique peut causer une exposition excessive à de la silice cristalline respirable. L'inhalation de cette poussière peut causer la silicose, une maladie pulmonaire mortelle. L'exposition à de la silice cristalline a été associée au cancer du poumon, à des maladies rénales, à une réduction de la fonction pulmonaire, de même qu'à d'autres problèmes de santé. Il n'existe aucun traitement efficace contre la silicose, mais il est possible de la prévenir en limitant l'exposition des travailleurs à de la poussière contenant de la silice cristalline. Une étude du National Institute for Occupational Safety and Health (NIOSH) indique comment il est possible de réduire les expositions.

Maîtrise des expositions
Le bardage en béton renforcé de fibres est couramment et efficacement coupé à l'aide de scies mécaniques, comme les scies circulaires et les scies à onglets mixtes. Ces scies sont normalement utilisées avec des lames précisément conçues pour couper le bardage en béton renforcé de fibres et limiter la production de poussière. Plusieurs scies circulaires commerciales sont munies de caractéristiques de récupération de poussière, comme des hottes et des prises de gaz d'échappement pouvant être branchées à des aspirateurs ou à des sacs de récupération de poussière.

Les scientifiques du NIOSH ont réalisé une étude servant à formuler des recommandations de maîtrise d'ingénierie pratiques relatives à la silice cristalline respirable résultant de la coupe de bardage de béton renforcé de fibres. Les résultats de l'étude indiquaient que le fait de brancher une scie circulaire qui récupère la poussière à un aspirateur d'atelier régulier peut s'avérer une solution d'ingénierie efficace, simple et peu coûteuse (par rapport à un aspirateur HEPA) pour maîtriser la poussière produite.

Mesures de maîtrise recommandées

Système de ventilation par aspiration à la source

  • Utilisez un aspirateur d'atelier avec un débit d'air de 30 pi³/min ou plus. Un boyau d'aspirateur peut être utilisé pour fixer la scie circulaire à l'aspirateur d'atelier. Le boyau doit être de taille suffisante (3 cm ou 1,25 po ou plus de diamètre).
  • Un sac-filtre jetable à haute efficacité peut être utilisé à titre de préfiltre dans l'aspirateur d'atelier pour retenir une grande part de la poussière. Utilisez ce matériel avec un filtre à cartouche.
  • L'aspirateur d'atelier et la scie circulaire peuvent être branchés à un interrupteur à dépression intelligent. Cela a pour effet d'éliminer la distraction pour l'opérateur en ce qui concerne le fait d'éteindre ou de mettre en marche un système de récupération de la poussière et garantit que l'aspirateur fonctionne pendant que la scie est en marche, évitant ainsi la libération involontaire de poussière. L'interrupteur permet également de retarder la mise hors service de l'aspirateur d'atelier lorsque l'aspirateur est mis hors tension, ce qui élimine la poussière restante dans le boyau de l'aspirateur après la coupe d'une planche. Certains aspirateurs d'atelier sont munis d'interrupteurs de dépression intelligents intégrés. Pour les aspirateurs d'atelier qui n'en sont pas équipés, un dispositif comportant les mêmes caractéristiques peut être acheté et utilisé.

Scies et lames circulaires

  • Utilisez seulement les scies circulaires munies d'un contenant de récupération de poussière intégré ou d'une visière servant de hotte, encoffrant partiellement la lame de la scie, qui peut facilement être branchée au système de ventilation par aspiration à la source.
  • Utilisez des lames conçues pour la coupe de bardage en béton renforcé de fibres. Elles permettent une coupe plus précise, ont une durée de vie plus longue et peuvent réduire la quantité de poussière produite.

Pratiques de travail

  • Lorsque vous utilisez une scie mécanique, coupez le bardage en béton renforcé de fibres à l'extérieur, lorsque c'est possible.
  • Évitez de nettoyer la poussière de béton renforcé de fibres en suspension sur les chantiers en utilisant le balayage à sec : utilisez plutôt un aspirateur.
  • Fournissez une poubelle avec couvercle près du poste de travail pour permettre aux opérateurs de scies de se défaire de la poussière récupérée. Jetez la poussière de béton renforcé de fibres conformément à la réglementation locale.
  • Faites l'entretien de l'aspirateur d'atelier conformément aux recommandations du fabricant.
  • Inspectez l'aspirateur d'atelier quotidiennement pour détecter la présence de défauts (nouveaux sacs-filtres et cartouches inspectés pour la présence de trous, d'ouvertures, etc.) et vous assurer que le sac-filtre et le filtre à cartouche sont changés régulièrement pour prévenir un débit d'air insuffisant.

Appareils de protection respiratoire

  • Ces mesures de suppression de la poussière peuvent grandement aider à réduire l'exposition des travailleurs à des poussières dangereuses; cependant, le NIOSH recommande l'utilisation d'un demi-masque antipoussières N95 ou muni de meilleurs filtres pour les expositions à la silice cristalline en suspension dans l'air à des concentrations inférieures ou égales à 0,5 mg/m3 [NIOSH 2008].

Lire l'alerte intégrale (PDF) du NIOSH.

Ressources additionnelles du CCHST

Quels sont les effets de la poussière sur les poumons?, fiche de renseignements

Choix des appareils respiratoires, fiche de renseignements

L'équipement de protection individuelle : les rudiments cours en ligne

Silice cristalline, quartz, fiche de renseignements

Conseils et outils

L’épuisement par la chaleur : grave et soudainprint this article

À l’intérieur comme à l’extérieur, les malaises liés à la chaleur peuvent frapper sans avertissement. Travailler ou jouer par temps très chaud peut entraîner un épuisement par la chaleur. Dans certains milieux de travail tels que les lieux d’incendie, les boulangeries, les aciéries, les fermes, les usines, les cuisines et les blanchisseries, les températures élevées peuvent rapidement faire échec à la capacité de refroidissement du corps, et causer des malaises potentiellement graves.

L’épuisement par la chaleur survient lorsque l’organisme perd trop d’eau et de sels minéraux après une sudation excessive. Il est une forme grave de malaise lié à la chaleur. Les signes et les symptômes de l’épuisement par la chaleur peuvent survenir rapidement et comprennent :

  • nausée
  • étourdissements
  • crampes ou faiblesse musculaires
  • faiblesse
  • maux de tête
  • fatigue
  • soif
  • transpiration abondante
  • température corporelle élevée

Voici les premiers soins à prodiguer en cas d’épuisement par la chaleur :

  • Déplacer la personne vers un endroit plus frais, à l’ombre.
  • Demander des soins médicaux.
  • Rester avec la personne jusqu’à l’arrivée des secours.
  • Lui retirer le plus de vêtements possible (y compris ses chaussettes et ses chaussures).
  • Appliquer des compresses humides et fraîches ou de la glace sur sa tête, son visage et son cou.
  • Vaporiser de l’eau fraîche sur la personne.
  • L’encourager à boire de l’eau, du jus clair ou une boisson énergisante.

Voici quelques conseils pour prévenir l’épuisement par la chaleur :

  • Informez les travailleurs et les superviseurs sur les dangers pouvant entraîner un malaise lié à la chaleur et les méthodes de prévention.
  • Apprenez aux travailleurs à reconnaître les symptômes de ces malaises, chez eux et chez les autres. Encouragez-les à signaler ces symptômes sans délai.
  • Que vous ayez soif ou non, buvez de l’eau fréquemment – une tasse toutes les 15 ou 20 minutes. Évitez la caféine et l’alcool, car ils peuvent vous déshydrater.
  • Il faut du temps pour s’habituer à travailler à la chaleur. Augmentez votre charge de travail et votre exposition à la chaleur de façon graduelle.
  • Planifiez des périodes de repos fréquentes, pour vous hydrater et vous rafraîchir à l’ombre ou dans un endroit climatisé (immeuble, véhicule, etc.). Ne faites pas d’efforts excessifs.
L’épuisement par la chaleur peut rapidement se transformer en coup de chaleur, lequel constitue une urgence médicale. Pour vous protéger contre les malaises causés par la chaleur, hydratez-vous constamment et permettez à votre corps de se refroidir.

Pour en apprendre davantage sur les malaises liés à la chaleur, consultez les ressources suivantes :

Exposition à la chaleur - Effets sur la santé et premiers soins feuille de renseignements, CCHST

Télécharger l'affiche des Malaises liés à la chaleur : Signes à surveiller, CCHST

Télécharger l'affiche des Restez au frais, CCHST

‹‹ Protecting Workers from Heat Illness Infosheet ››, OSHA-NIOSH, PDF

Nouvelles de nos partenariats

Nouveau plan d’amélioration de la sécurité de la pêche en Nouvelle-Écosseprint this article

Des pêcheurs, des intervenants de l’industrie et des agences gouvernementales ont mis de l’avant un plan visant l’amélioration de la sécurité dans l’industrie de la pêche commerciale en Nouvelle-Écosse. Élaboré par l’Alliance pour la sécurité en mer – qui regroupe des pêcheurs, des membres de leur famille, des intervenants de l’industrie, des organismes de sécurité, des dirigeants communautaires et des agences gouvernementales –, le plan « Sécurité des pêches » est assorti de recommandations pour l’élaboration d’une trousse de sécurité, l’éducation et la sensibilisation en matière d’exigences de sécurité, l’amélioration de la formation et l’ajout d’exercices de sécurité.

« Nous devons faire quelque chose pour rendre l’industrie plus sûre », souligne Dale Richardson, pêcheur d’espadon et de homard de Sable River, dans le comté de Shelburne, et représentant de l’industrie auprès de l’Alliance pour la sécurité en mer. « Nous ne réglerons pas tous les problèmes du jour au lendemain, mais en réunissant tous les intervenants concernés – industrie, gouvernement, Commission d’indemnisation des accidentés du travail, Collège communautaire de la Nouvelle-Écosse et Bureau de la sécurité des transports – nous progressons à pas de géant. »

La Fisheries Safety Association of Nova Scotia et le Nova Scotia Fisheries Sector Council verront à la mise en œuvre des 33 recommandations qui visent à améliorer la sécurité et, ultimement, à sauver des vies. Depuis 2007, 35 personnes sont décédées à la suite d’accidents de travail dans le domaine de la pêche commerciale en Nouvelle-Écosse.

Parmi les points saillants du plan, notons une sensibilisation accrue aux pratiques et aux règlements, davantage de formation et d’éducation en matière de sécurité et l’examen des politiques et des méthodes relatives aux prévisions météorologiques et à la gestion des pêches.

« Nous sommes tous dévoués à ce travail. Nous avons construit une base solide afin d’assurer la mise en œuvre de ces recommandations. Le plan ne marque que le début », souligne Stuart MacLean, directeur général de la Commission d’indemnisation des accidentés du travail de la Nouvelle-Écosse.

La sécurité dans l’industrie de la pêche constitue un élément clé de la stratégie de sécurité au travail de la province et de la stratégie de la pêche commerciale.

Pour obtenir une copie du plan Sécurité des pêches, visitez le site http://www.safeatseans.ca.

Balados

Balados: Conseils de sécurité pour l’été et La fatigue chez les travailleursprint this article

Ce mois-ci, les balados de la série De la SST pour emporter! présentent les épisodes Conseils de sécurité pour l’été et La fatigue chez les travailleurs.

Balado en vedette : Conseils de sécurité pour l’été
La fête du Canada marque le début non officiel de l'été et l'occasion de passer plus de temps à l'extérieur. Si vous travaillez ou jouez à l'extérieur, vous êtes plus susceptible d'éprouver un malaise ou d'être atteint d'un trouble attribuable à une exposition excessive au soleil, à la chaleur extrême et aux piqûres d'insectes. Dans ce balado, le CCHST indique des mesures que vous pouvez prendre pour assurer votre sécurité et éviter les blessures pendant la saison estivale.

La durée du balado est de 6 min 51 s. Écoutez-le immédiatement.

Balado 2 : La fatigue chez les travailleurs
Le CCHST explique de quelle façon la fatigue affecte la sécurité des travailleurs et donne des conseils en vue de minimiser les effets de la fatigue.

La durée du balado est de 8 min 2 s. Écoutez le balado maintenant.

Le CCHST produit chaque mois des balados GRATUITS conçus pour vous informer des derniers renseignements, conseils, études et avis d’experts diffusés en ce qui concerne la santé, la sécurité et le mieux-être des travailleurs canadiens. Cette collection de balados que vous pouvez télécharger et écouter au moment et à l’endroit de votre choix vous offre vraiment De la SST pour emporter!

Parcourez la liste complète des sujets traités dans les balados. Mieux encore, abonnez-vous sur iTunes afin de ne pas manquer un seul épisode.

Faites-nous part de vos commentaires.
Votre rétroaction et vos idées de sujets sont les bienvenues.

Communiquez avec nous.

Préparé par le Centre canadien d'hygiène et de sécurité au travail, le Rapport sur la santé et la sécurité est un bulletin de nouvelles mensuel qui fournit des renseignements, des conseils et des ressources pour aider à maintenir un milieu de travail sain et sécuritaire, et assurer le mieux-être global des travailleurs.

Vous pouvez annuler votre inscription en tout temps. Si vous avez reçu ce bulletin de nouvelles par l'intermédiaire d'un ami, pourquoi ne pas vous inscrire vous-même?

Le respect de la vie privée vous préoccupe? Le CCHST ne vend pas et ne partage pas vos renseignements personnels. Consultez notre politique en matière de respect de la vie privée.'

CCHST, 135, rue Hunter Est, Hamilton (Ontario) L8N 1M5
1-800-668-4284 serviceclientele@cchst.ca
cchst.ca

© 2024, Centre canadien d'hygiène et de sécurité au travail'