La présente fiche de conseils s’adresse aux employeurs, aux gestionnaires, aux travailleurs et aux bénévoles qui fournissent des services d’urgence dans un milieu autre qu’hospitalier, par exemple les ambulanciers, les techniciens en soins médicaux d’urgence, les sauveteurs, les pompiers et les policiers.
Les maladies respiratoires infectieuses (MRI), comme la COVID-19, la grippe et le virus respiratoire syncytial (VRS), sont causées par des agents pathogènes (germes). De nombreuses personnes qui contractent une maladie respiratoire infectieuse éprouvent des symptômes légers et se rétablissent complètement. Néanmoins, certaines personnes vulnérables (p. ex., personnes immunodéprimées, âgées ou enceintes) sont à risque de complications graves et de décès.
Les personnes infectées peuvent transmettre des agents pathogènes par des particules respiratoires lorsqu’elles toussent, éternuent, parlent, chantent, crient ou respirent. Certaines personnes infectées ne présentent aucun symptôme, mais sont toujours contagieuses (asymptomatiques). Il est possible d’être infecté en inhalant des particules contenant des agents pathogènes ou en touchant des surfaces contaminées, pour ensuite se toucher les yeux, le nez ou la bouche avec des mains malpropres.
Consultez les recommandations de l’Agence de la santé publique du Canada et du Centre canadien d’hygiène et de sécurité au travail (CCHST) pour connaître les pratiques générales de prévention des maladies respiratoires infectieuses :
Installez des distributeurs de désinfectant pour les mains dans les endroits très fréquentés (p. ex. entrée principale, salles de pause, bureaux administratifs, véhicules) et veillez à ce qu’ils soient toujours bien remplis.
Formez les travailleurs pour qu’ils respectent l’approche des « 5 indications de l’hygiène des mains » de l’Organisation mondiale de la Santé pour le nettoyage des mains :
(1) avant de toucher un patient;
(2) avant un geste aseptique;
(3) après un risque d’exposition à un liquide organique;
(4) après avoir touché un patient;
(5) après avoir touché l’environnement d’un patient.
À l’aide des méthodes les plus efficaces (p. ex. affiches, courriels, site Web), informez les travailleurs, les visiteurs, les patients et le public des mesures de santé et de sécurité qui s’appliquent à eux.
Suivez les directives publiées par l’organisme de réglementation de la profession pertinente, s’il y a lieu.
Évaluez continuellement le risque d’exposition des travailleurs des services d’urgence aux maladies respiratoires infectieuses, lequel augmente dans les situations suivantes :
Lorsque les travailleurs sont en contact étroit avec une personne atteinte d’une maladie respiratoire infectieuse ou lui fournissent directement des services;
Lorsque les travailleurs effectuent une intervention médicale générant des aérosols;
Lorsqu’il y a une hausse de la transmission communautaire.
Envisagez de limiter l’utilisation de l’équipement à un seul travailleur, surtout si l’équipement est difficile à nettoyer et à désinfecter. Si l’équipement doit être partagé, demandez aux utilisateurs de le nettoyer et de le désinfecter avant et après chaque utilisation, en particulier lors d’un changement d’utilisateur.
Offrez des méthodes sans contact pour l’échange de documents et les paiements (p. ex. procédures électroniques pour la vérification des antécédents, le dépôt de plaintes, le signalement d’une personne disparue ou la délivrance de permis de brûlage).
Nettoyez et désinfectez l’intérieur des véhicules lors de chaque changement de conducteur ou de passagers, en accordant la priorité aux surfaces fréquemment touchées (p. ex. clés, poignées de porte, sièges, ceintures de sécurité, appuie-bras, boutons, commandes, interrupteurs, écrans tactiles, tableau de bord, volant, levier de vitesse).
Fournisseurs aux travailleurs un approvisionnement adéquat en équipement de protection individuelle (EPI) et en produits de nettoyage et de désinfection.
Exigez que les travailleurs portent un uniforme propre et qu’ils le changent chaque jour.
Éléments à prendre en considération lors des interventions d’urgence :
Demandez aux répartiteurs de tenter de déterminer si les personnes présentes sur les lieux de l’urgence ont des symptômes de maladie respiratoire infectieuse. Le cas échéant, assurez-vous que l’information est transmise aux travailleurs des services d’urgence qui se rendront sur place;
Fournisseurs aux travailleurs des masques qu’ils pourront offrir aux personnes avec lesquelles ils interagissent;
Après avoir interagi avec une personne qui a ou qui est soupçonnée d’avoir une maladie respiratoire infectieuse, nettoyez et désinfectez tout l’équipement et toutes les surfaces que la personne a touchés (p. ex. matériel et appareils médicaux, civière, dispositifs de contention);
S’il existe un risque de contact avec des drogues illicites, apprenez aux travailleurs à ÉVITER d’utiliser du désinfectant pour les mains. Certains désinfectants pour les mains contiennent de l’alcool, ce qui peut accroître l’absorption du fentanyl et d’autres substances dangereuses par la peau. Veillez à ce que les travailleurs portent et retirent leur équipement de protection en toute sécurité et se lavent les mains et la peau exposée avec de l’eau et du savon.
Il est parfois nécessaire de pratiquer une intervention qui génère des aérosols (p. ex. intubation ou réanimation cardiorespiratoire) chez un patient qui présente une maladie respiratoire infectieuse. Si une telle intervention doit être pratiquée, veillez à prendre des précautions supplémentaires pour limiter le plus possible le risque de transmission de la maladie respiratoire infectieuse :
Portez de l’équipement de protection supplémentaire, comme un respirateur, un écran facial, des gants et une blouse;
Nettoyez et désinfectez soigneusement l’équipement, et aérez les lieux après l’intervention.
Éléments à prendre en considération pour les quarts de 24 heures (c.-à-d. pour les travailleurs qui mangent, dorment et s’entraînent ensemble, et qui interviennent ensemble en cas d’urgence) :
Aérez les aires d’habitation et les dortoirs entre les quarts de travail en ouvrant les fenêtres et les portes et en lassant l’espace vacant pendant une courte période;
Changez les draps entre chaque utilisateur, si les lits sont utilisés à tour de rôle;
Nettoyez et désinfectez toutes les surfaces et tous les objets fréquemment touchés (p. ex. équipement de conditionnement physique, poignées de porte, commandes, outils, équipement de sauvetage, intérieur des véhicules) avant l’arrivée de la prochaine équipe.
Tenir compte des risques
La transmission des maladies respiratoires infectieuses augmente lorsqu’une personne est exposée à plusieurs risques en même temps, par exemple lorsque :
Le travail se fait dans des espaces intérieurs surpeuplés et mal ventilés
Les interactions de personne à personne sont longues et fréquentest
Des personnes malades sont présentes sur le lieu de travail
Il n’y a aucun accès aux installations et aux produits de nettoyage
Les surfaces et les objets partagés sont fréquemment touchés
On observe une augmentation saisonnière des hospitalisations ou des cas de maladies respiratoires infectieuses
Tenez compte de tous les scénarios possibles d’exposition à des maladies respiratoires infectieuses dans votre milieu et effectuez une évaluation des risques. Créez ou utilisez un formulaire d'évaluation des risques existant pour consigner et évaluer l’ensemble des caractéristiques, activités et rôles liés au milieu de travail. Il est recommandé de revoir votre évaluation régulièrement (au moins une fois par année ou chaque fois que quelque chose change) pour vérifier si vos méthodes de contrôle sont toujours efficaces.
Exemples de questions à poser lors d’une évaluation des risques de maladies respiratoires infectieuses :
Les espaces intérieurs sont-ils bien ventilés?
Où les gens se réunissent-ils?
Quelles activités nécessitent des interactions, des communications ou de toucher à des objets communs?
Quelles sont la durée et la fréquence des interactions entre les personnes?
Quels sont les surfaces fréquemment touchées et les objets partagés?
Quels travailleurs sont les plus vulnérables?
Participe-t-on normalement à des activités qui créent des particules respiratoires (p. ex., chanter, crier, etc.)?
Les gens sont-ils censés rester dans un espace clos pendant une période prolongée?
Y a-t-il une politique sur les congés de maladie qui encourage les travailleurs malades à rester à la maison?
Mesures de contrôle
Respectez vos obligations légales en matière de santé et de sécurité au travail en faisant tout ce qui est raisonnablement possible dans les circonstances pour protéger les travailleurs et assurer la santé et la sécurité au travail.
Pour offrir aux travailleurs le niveau de protection le plus élevé, utilisez plusieurs mesures de contrôle et mesures de protection individuelle en milieu de travail dans le cadre d’une approche multidimensionnelle. Aucune mesure à elle seule n’est entièrement efficace. Faites attention de ne pas créer de nouveaux dangers ou d’avoir une incidence négative sur les mesures de contrôles existantes. Examinez et ajustez les mesures au besoin en consultation avec le comité de santé et de sécurité ou son représentant.
Les mesures de contrôle choisies doivent être fondées sur le risque évalué pour les travailleurs. Chaque lieu de travail et même les travailleurs d’un même lieu de travail peuvent avoir des niveaux de risque différents. Les travailleurs qui présentent un risque élevé de complications graves peuvent avoir besoin de mesures d’adaptation.
Envisagez la création d’un plan de préparation et d’intervention en cas d’urgence qui fournit des conseils sur la prévention, la détection et l’intervention relatives aux maladies respiratoires infectieuses en milieu de travail. Il peut être rédigé sous forme de politiques et de procédures.
Vaccination
Les vaccins fonctionnent en stimulant une réponse immunitaire du corps pour aider à protéger les personnes vaccinées contre des maladies graves.
Envisager de promouvoir la vaccination contre les maladies respiratoires infectieuses auprès des travailleurs admissibles, si possible
Envisager de fournir un soutien aux travailleurs :
Pour les inciter à se rendre à des rendez-vous à la clinique de vaccination locale s’ils surviennent pendant les heures de travail
Qui subissent les effets secondaires temporaires de la vaccination
Conserver les contrôles en milieu de travail et les mesures de protection individuelle, même si la plupart des travailleurs sont entièrement vaccinés
Ventilation
Une bonne ventilation intérieure réduit la concentration d’agents pathogènes dans l’air et constitue l’une des mesures de contrôle les plus efficaces en milieu de travail contre les maladies respiratoires infectieuses.
Ventiler les espaces intérieurs de façon appropriée en fonction du nombre d’occupants et des types d’activités.
Ouvrir les fenêtres et les portes vers l’extérieur s’il est sécuritaire de le faire.
Entretenir les systèmes de ventilation et demander conseil à un spécialiste de la ventilation sur les améliorations possibles (p. ex., augmentation des échanges d’air par heure, réduction ou élimination de l’air recyclé, ou mise à niveau vers la filtration et la désinfection de l’air).
Si possible, faire fonctionner les systèmes de ventilation de façon continue à basse vitesse ou pendant deux heures au débit d’air maximal avant et après l’occupation des bâtiments.
Faire fonctionner en continu des ventilateurs d’extraction locaux dans les salles de bain et les cuisines qui évacuent l’air vers l’extérieur pour éliminer l’air contaminé.
S’assurer que les ventilateurs de circulation d’air ou les ventilateurs de refroidissement ne dirigent pas la circulation d’air d’une personne à l’autre.
S’il est impossible d’améliorer la ventilation, envisager d’utiliser des unités de filtration d’air portatives munies de filtres à haute efficacité pour particules dans l’air (HEPA).
Maintenir l’humidité intérieure entre 30 % et 50 %.
Contrôler la libération de particules respiratoires et avoir les mains propres sont des stratégies efficaces pour réduire la propagation des maladies respiratoires infectieuses.
Fournir des postes de lavage des mains ou des distributeurs de désinfectant pour les mains (contenant au moins 60 % d’alcool) dans les zones à forte circulation. Vérifier et réapprovisionner régulièrement les distributeurs.
Encourager tout le monde à se laver ou à se désinfecter les mains aux moments appropriés :
Avant et après avoir touché un équipement de protection individuelle ou un masque
Après avoir touché des articles, de l’équipement et des surfaces communs ou fréquemment touchés
Avant et après avoir mangé ou manipulé des aliments
Après avoir toussé, éternué ou s’être mouché
Après avoir serré la main de quelqu’un
Après avoir utilisé les toilettes
Décourager les personnes de se toucher les yeux, le nez, la bouche ou le masque, surtout si elles ne se sont pas lavé les mains.
Réduire le nombre d’objets et d’équipements partagés.
Ne pas permettre aux travailleurs de partager de l’équipement de protection individuelle ou des masques.
Réduire le nombre de points de contact fréquents en ayant :
Des portes, robinets, toilettes, urinoirs et dispositifs d’éclairage activés par le mouvement
Des distributeurs à commande manuelle ou à pédale (pour savon, essuie-tout, désinfectant, etc.) et des contenants à déchets doublés
Des méthodes sans contact de surveillance de la présence des travailleurs, comme les cartes-clés ou les messages électroniques
Nettoyage et désinfection
Selon le type de surface et les conditions environnementales, les agents pathogènes peuvent rester sur les objets pendant quelques heures ou quelques jours.
Nettoyer et désinfecter régulièrement le lieu de travail.
Mettre l’accent sur les objets et les surfaces fréquemment touchés (p. ex., poignées de porte, poignées, rails, boutons, interrupteurs et robinets), qui doivent être nettoyés et désinfectés plus souvent et lorsqu’ils sont visiblement sales.
Utiliser des produits désinfectants approuvés pour surfaces dures.
Fournir des produits de nettoyage et de désinfection adéquats ainsi que l’équipement de protection individuelle approprié.
Toujours suivre les instructions du fabricant au moment d’utiliser, de manipuler ou d’entreposer le produit. Passer en revue l’étiquette du produit et (s’il y a lieu) la fiche de données de sécurité pour déterminer les précautions à prendre.
Laisser suffisamment de temps aux travailleurs pour désinfecter l’équipement partagé entre chaque utilisation.
Après le nettoyage et la désinfection :
Les chiffons de nettoyage et serviettes usagés, par exemple, doivent être manipulés correctement pour éviter la contamination croisée et être lavés ou éliminés après chaque utilisation
Déposer les articles fortement contaminés dans des conteneurs à déchets doublés
Communiquez les mesures de contrôle en milieu de travail et les mesures de protection personnelle nouvelles et mises à jour à tous les travailleurs dans une langue qu’ils comprennent. Les exigences et les recommandations particulières en matière de formation peuvent varier selon votre administration. Donnez aux travailleurs l’occasion de poser des questions et de faire part de leurs préoccupations. Répondez aux questions et fournissez une rétroaction dans un délai raisonnable.
Formez les travailleurs sur des sujets particuliers liés aux maladies respiratoires infectieuses, comme :
Comment identifier les symptômes et y réagir
Que faire en cas de maladie
Exigences en matière de rapports
Renseignements sur les vaccins et les options de vaccination, si possible
Comment prévenir la propagation de la maladie respiratoire infectieuse et se protéger au travail
Quand nettoyer et désinfecter, et comment utiliser les produits de nettoyage et de désinfection en toute sécurité
Comment porter, manipuler et entretenir correctement l’équipement de protection individuelle et les masques
Différentes méthodes de dépistage peuvent être utilisées pour identifier les personnes qui pourraient transmettre des maladies respiratoires infectieuses à d’autres. Les mesures appropriées peuvent être prises lorsque le dépistage permet d’identifier des personnes contagieuses.
Dans la plupart des milieux de travail, il n’est habituellement pas nécessaire d’effectuer un dépistage. Le dépistage actif consiste à tester les gens avant de les autoriser à entrer. Le dépistage passif peut être utilisé dans tous les milieux de travail où les personnes présentes se surveillent elles-mêmes et réagissent en conséquence si elles commencent à se sentir malades. Évaluez votre risque et déterminez si le dépistage actif ou passif (ou les deux) convient à votre milieu de travail.
Les personnes qui ne réussissent pas le dépistage devraient prendre les mesures appropriées, comme quitter le lieu de travail ou porter un masque bien ajusté si elles ne peuvent pas partir immédiatement.
Intervention en cas de maladies respiratoires infectieuses en milieu de travail
Prenez les mesures appropriées pour prévenir la propagation d’une maladie respiratoire infectieuse lorsqu’une personne malade est au travail. Le risque est accru lorsque plusieurs personnes sont malades en même temps, et une intervention d’urgence peut être nécessaire.
Lorsqu’une personne présente les symptômes d’une maladie respiratoire infectieuse au travail :
Demandez-lui de porter un masque (de préférence un respirateur ou un masque médical, ou, si aucun de ces masques n’est disponible, un masque non médical bien construit et bien ajusté). Un essai d’ajustement peut ne pas être nécessaire pour un respirateur utilisé de cette façon (c.-à-d. contrôle à la source).
S’il s’agit d’un travailleur, suggérez-lui également de consulter un médecin.
Appeler le 911 pour obtenir de l’aide médicale si les symptômes mettent la vie en danger. S’il s’agit d’un travailleur, aviser également son contact d’urgence.
Envisager d’avoir une politique sur les congés de maladie pour soutenir les travailleurs malades. Le soutien peut comprendre des congés de maladie payés ou non.
Élaborer et mettre en œuvre un plan d’intervention d’urgence pour gérer les éclosions de maladies respiratoires infectieuses.
L’équipement de protection contre les maladies respiratoires infectieuses comprend les respirateurs, les masques médicaux, les lunettes de protection, les gants et les blouses.
Une protection oculaire (lunettes de sécurité, lunettes de protection ou écrans faciaux) peut être portée pour protéger contre les éclaboussures. Remarque : Les écrans faciaux ne fournissent pas de protection respiratoire et ne peuvent pas remplacer les masques.
Les politiques relatives à l’équipement de protection contre les maladies respiratoires infectieuses ne doivent pas interférer lorsqu’un niveau de protection plus élevé est nécessaire pour une tâche.
Les travailleurs peuvent avoir besoin d’équipement de protection contre les maladies respiratoires infectieuses s’ils :
fournissent des soins directs ou des traitements médicaux à une personne atteinte d’une maladie respiratoire infectieuse, comme la COVID-19;
utilisent de produits de nettoyage et de désinfection;
accomplissent des tâches dans des environnements intérieurs surpeuplés et mal ventilés, et à risque élevé de complications graves dues à des infections respiratoires;
Un masque est une bonne option pour prévenir la propagation des particules respiratoires.
Le port du masque peut être encouragé comme mesure supplémentaire lorsqu’il y a un risque élevé de propagation de maladies respiratoires infectieuses.
Le port du masque peut être requis dans certains contextes où les personnes présentent un risque plus élevé de complications graves causées par des infections respiratoires.
Les masques doivent être bien construits, bien ajustés, bien portés et couvrir le nez, la bouche et le menton.
Les personnes incapables de retirer un masque sans aide ne doivent pas le porter (p. ex., en raison de leur âge, de leur capacité ou de leur état de développement).
Pour obtenir plus de renseignements sur les maladies respiratoires infectieuses, y compris la COVID-19, consultez le site de l’Agence de la santé publique du Canada.
Avis de dégagement de responsabilité : Comme les renseignements en matière de santé publique et de santé et sécurité au travail peuvent continuer à changer, consulter les autorités locales de santé publique afin d’obtenir des consignes régionales précises. L’information contenue dans la présente n’est pas destinée à remplacer les conseils d’un professionnel de la santé ou les obligations légales en matière de santé et de sécurité. Bien qu’il déploie tous les efforts possibles pour s’assurer que l’information est exacte, à jour et complète, le CCHST n’offre aucune garantie et ne s’engage aucunement à cet effet. De plus, il ne saurait être tenu responsable de toute perte, réclamation ou revendication pouvant résulter, directement ou indirectement, de l’utilisation de cette information ou du crédit qui lui est accordé.