Le rapport sur la santé et la sécuritéVol. 4, No. 10 octobre 2006

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Attention! Poussières inflammables!print this article

En février 1999, un incendie dans une fonderie du Massachusetts s'est propagé dans les conduits de ventilation. Une première explosion mineure à l'intérieur des conduits a délogé d'importants dépôts de résine phénol-formol qui s'étaient accumulés à l'extérieur des conduits. Cette explosion a provoqué un nuage de poussières qui a alimenté une deuxième explosion assez puissante pour soulever le toit et provoquer une rupture des murs. Trois personnes sont mortes et neuf autres ont été blessées.

En février 2003, sept personnes ont été tuées et 37 ont été blessées à la suite d'une explosion de poussières survenue dans une usine de fabrication de matériaux acoustiques du Kentucky. Dans son rapport, le U.S. Chemical Safety and Hazard Investigation Board (CSB) a affirmé que l'explosion avait probablement été causée par un petit incendie qui s'est propagé à partir d'un four laissé sans surveillance, qui a enflammé un nuage de poussières créé par le nettoyage d'une canalisation située à proximité. Une cascade mortelle d'explosions de poussières s'en est ensuivie dans toute l'usine.

À la suite de ces accidents, le CSB a effectué une importante enquête sur les accidents industriels impliquant des explosions de poussières depuis les 20 dernières années. Les résultats de l'enquête du CSB montrent qu'au cours de cette période, il s'est produit, aux États-Unis seulement, plus de 150 importantes explosions de poussières industrielles, ce qui a entraîné la mort de 80 personnes. Et l'étendue du problème, qui va bien au-delà des statistiques américaines, montre que les risques d'incendie/d'explosion existe dans toute installation ou tout équipement où des poussières combustibles sont manipulées ou traitées.

Le risque d'une explosion de poussières combustibles peut exister dans divers secteurs d'activité, notamment alimentation (p. ex. bonbons, amidon, farine, aliments pour animaux), plastiques, bois, caoutchouc, meubles, textiles, pesticides, produits pharmaceutiques, colorants, charbon, métaux et production d'électricité à partir de combustibles fossiles. La plupart des matières naturelles et des matières organiques synthétiques, de même que certains métaux, peuvent former des poussières combustibles. Le bulletin de sécurité émis par le Occupational Safety and Health Administration des États-Unis renferme des renseignements importants sur la façon d'évaluer les risques dans votre installation.

Éléments d'une explosion de poussières

Les experts s'accordent pour dire que, pour qu'une explosion de poussières se produise, cinq conditions doivent être présentes en même temps. Premièrement, trois éléments sont nécessaires pour provoquer un incendie (le triangle du feu) :

1. poussières combustibles (carburant)

2. source d'inflammation (étincelle ou chaleur)

3. oxygène dans l'atmosphère (oxydant)


De plus, d'autres éléments sont nécessaires pour provoquer une explosion de poussières combustibles :


4. dispersion de poussières (dans l'air formant un nuage)

5. confinement du nuage de poussières (bâtiment ou plafond)


Ces cinq éléments constituent le " pentagone de l'explosion " qui provoque une explosion de poussières. Si un des éléments du pentagone est absent, une explosion catastrophique ne peut se produire.

Un nuage de poussières qui est enflammé dans un récipient, une endroit ou un bâtiment clos ou à demi-clos brûle très rapidement et peut exploser, ce qui peut provoquer des incendies, d'autres explosions, la projection de débris et l'écroulement de parties du bâtiment ou de tout le bâtiment.

Une première explosion qui se produit dans un équipement de transformation ou dans un endroit où il y a une accumulation de poussières peut secouer les redoutables particules de poussières lâches ou endommager l'enveloppe de confinement (p. ex. conduit, contenant). Si elle est enflammée, la poussière supplémentaire relâchée dans l'atmosphère peut provoquer une ou plusieurs autres explosions qui peuvent être plus destructrices que l'explosion initiale.

Réduire le risque

Les installations devraient effectuer une évaluation des risques posés par les poussières afin de déterminer soigneusement les matières qui peuvent s'enflammer, les procédés qui utilisent, consomment ou produisent des poussières, les endroits ouverts et les espaces dissimulés où des poussières combustibles peuvent s'accumuler, les façons dont les poussières peuvent être dispersées dans l'atmosphère, et les sources potentielles d'inflammation.

Le facteur clé est de savoir si le type particulier de poussières qui se trouve dans votre installation présente un risque de poussières inflammables. Il n'existe pas à l'heure actuelle de classes de risques relatives aux poussières combustibles ou inflammables selon le Système d'information sur les matières dangereuses utilisées au travail (SIMDUT). Cependant, il existe une obligation de déclarer sur la fiche signalétique (FS) d'un produit tous les risques que ce dernier peut comporter. Malheureusement, le danger d'explosion des poussières est sous estimé et, souvent, n'est pas signalé dans les FS. Dans la base de données CHEMINFO du CCHST, le potentiel d'une matière susceptible de constituer un risque de poussières inflammables a été déterminé. De même, tous les rapports d'explosion de poussières impliquant le produit chimique sont inclus. L'analyse en laboratoire du type particulier de poussières qui se trouve dans votre installation vous aidera à déterminer si celles-ci constituent un danger sur les lieux de travail.

L'analyse de votre installation peut permettre également de déterminer les endroits qui exigent une classe d'équipement électrique particulière en raison du risque potentiel de poussières inflammables.

Les pratiques suivantes en matière de sécurité sont recommandées :


Contrôle de la poussière - l'étape la plus importante pour prévenir les explosions de poussières


  • Réduire les fuites de poussières provenant de l'équipement de transformation ou des systèmes de ventilation.
  • Utiliser des systèmes et des filtres de dépoussiérage, et utiliser si possible des surfaces qui réduisent l'accumulation de poussières et sont faciles à nettoyer.
  • Prévenir l'accumulation de poussières sur les surfaces. Utiliser des surfaces qui réduisent l'accumulation de poussières et sont faciles à nettoyer.
  • Inspecter les résidus de poussières dans les endroits à découvert ou cachés et nettoyer ces endroits à intervalles réguliers.
  • Utiliser des méthodes de nettoyage qui ne génèrent pas de nuages de poussières (p. ex. utiliser un aspirateur pour enlever les poussières plutôt que de les souffler ou de les balayer).
  • N'utiliser que des aspirateurs approuvés pour le dépoussiérage. Installer les soupapes de sûreté loin des endroits où il a un risque d'explosion de poussières.
  • Élaborer et mettre en place un programme en matière d'inspection des poussières d'analyse, d'entretien et de contrôle qui établit, par écrit, la méthode et la fréquence à respecter pour chacune des différentes étapes.


Contrôle de l'inflammation

  • Utiliser du matériel électrique et des méthodes de câblage appropriés.
  • Assurer le contrôle de l'électricité statique, notamment la mise à la terre du matériel.
  • Empêcher l'usage du tabac, les flammes nues, les étincelles, la friction et les étincelles mécaniques. Utiliser des séparateurs pour enlever les matières étrangères susceptibles d'enflammer les combustibles utilisés avec l'équipement de transformation.
  • Éviter que les poussières n'entrent en contact avec des surfaces chaudes. Séparer les systèmes de chauffage des sources de poussières. S'assurer que les types de chariots élévateurs sont appropriés et qu'ils sont utilisés correctement; s'assurer également que les outils de percussion à cartouches sont utilisés correctement.


Les propriétaires des installations, les gestionnaires et les superviseurs ont la responsabilité de procéder à

Alertes au danger

Prévenir l'asthme à la suite d'une exposition au 1,1'- méthylènebis (4-isocyanatobenzène)print this article

Le National Institute for Occupational Safety and Health, aux États-Unis, a publié l'alerte " Preventing Asthma and Death from MDI Exposure During Spray-on Truck Bed Liner and Related Applications " pour accroître la sensibilisation aux isocyanates qui constituent un risque important pour la santé en milieu de travail.



Cette alerte résume les rapports de quatre accidents - dont l'un est mortel - d'asthme ou d'une autre maladie des voies respiratoires survenus à la suite d'une exposition au 1,1'- méthylènebis(4-isocyanatobenzène) (MDI pour methylene bisphenyl isocyanate) durant la vaporisation de la surface d'une plate-forme de camion.



Selon la base de données CHEMINFO du CCHST, les personnes qui sont sensibilisées au MDI réagissent à de très faibles niveaux de MDI qui peuvent n'avoir aucun effet sur les personnes non sensibilisées. Les symptômes peuvent initialement apparaître sous forme de rhume ou de rhume des foins léger. Cependant, des symptômes asthmatiques graves peuvent se manifester (sifflement, gêne respiratoire, essoufflement, difficulté à respirer et/ou toux). De la fièvre, des frissons, une sensation générale d'inconfort, des maux de tête et de la fatigue peuvent également se manifester. Les symptômes peuvent se manifester en tout temps - immédiatement après l'exposition ou même beaucoup plus tard. De manière générale, l'asthme s'estompe si l'exposition n'existe plus (p. ex. durant les weekends et les vacances) et réapparaît, dans certains cas, sous forme de " crise aiguë " lorsque la personne est de nouveau exposée au MDI. Cela signifie que les travailleurs sensibilisés ne peuvent être exposés au produit chimique dans le milieu de travail ni ailleurs. Chez les personnes sensibilisées, toute exposition au MDI peut déclencher une réaction asthmatique grave constituant un risque de décès.



À la suite de la cessation de l'exposition, certains travailleurs peuvent continuer à ressentir des problèmes persistant des voies respiratoires tels que symptômes asthmatiques, problèmes bronchiques et hypersensibilité au MDI. D'autres peuvent récupérer complètement et perdre graduellement leur sensibilité après plusieurs années.



L'alerte du National Institute for Occupational Safety and Health s'adresse aux travailleurs, aux employeurs, aux propriétaires de PME, aux médecins et aux autres fournisseurs de soins de santé qui ont besoin de connaître les moyens de prévenir les niveaux d'exposition potentiellement mortels.


La méthode de vaporisation des plates-formes de camions, similaire à celle d'un enduit protecteur, consiste à appliquer une couche protectrice de polyuréthane ou de polyurée sur la plate-forme des camions ou d'autres véhicules et surfaces. Plusieurs de ces produits d'application par pulvérisation, contenant des isocyanates comme le MDI, ont été mis au point pour un large éventail d'usages industriels, commerciaux et résidentiels. Ils sont utilisés pour protéger les surface en béton, en bois, en fibres de verre, en acier et en aluminium comme les plates-formes de camions, de remorques, de bateaux, de fondations et de terrasses.


Les isocyanates sont largement reconnus comme la cause principale de l'asthme professionnel. La plupart des cas d'exposition au MDI se produisent par inhalation de vapeurs ou d'aérosols. Le contact avec la peau durant la manipulation des produits liquides à base de MDI demeure également une voie d'exposition.



Recommandations

Les fabricants et les distributeurs de produits contenant du MDI ou autres isocyanates devraient travailler de concert sur les procédures et mesures de contrôles en ce qui concerne la méthode de vaporisation des plates-formes. Ces mesures et contrôles devraient inclure les produits de remplacement, la modification du matériel et de la préparation, la conception de l'enceinte de pulvérisation et de ventilation, les pratiques de travail, la capacité et l'entretien des systèmes de ventilation, la vaporisation dans des endroits clos, l'isolation des travailleurs, la surveillance des expositions et la protection des voies respiratoires.

Dans son alerte au danger, le NIOSH vise ultimement à encourager l'industrie à réduire les concentrations de MDI dans les enceintes de vaporisation en mettant en place ces mesures et contrôles, de pair avec l'utilisation d'appareils de protection respiratoire et d'un programme de protection des voies respiratoires couché sur papier. Une fois que les travailleurs auront reçu une formation complète sur ces procédures et contrôles, le risque d'une exposition nocive sur la santé sera grandement réduit.

Réponses SST

Risques dangereux? Danger de risques?print this article

Les termes " risque " et " danger " sont parmi les plus utilisés dans le domaine de la santé et de la sécurité au travail (SST). Cependant, la différence entre un risque et un danger n'est pas toujours claire. Afin de faire la lumière sur cette question, le site Web Réponses SST, produit par le Centre canadien d'hygiène et de sécurité au travail (CCHST), contient maintenant une page d'information qui établit la différence entre ces termes. Voici un résumé de ce document.

" Risque " et " danger " sont parfois - à tort - utilisés de façon interchangeable. Un dictionnaire définit même un danger comme une " possibilité de survenue d'un risque ", ce qui ajoute à la confusion. Il y a une nette différence entre un risque et un danger.

Dans le contexte de la SST, un danger est la propriété ou la capacité intrinsèque d'une chose de causer des dommages, des préjudices ou des effets néfastes sur la santé dans certaines conditions en milieu de travail. Un risque, c'est la probabilité qu'un tel événement survienne.

On peut affirmer que " les liquides inflammables constituent un danger (parce qu'ils peuvent provoquer un incendie) et " qu'il y a un risque accru d'incendie dans une installation où se trouvent des liquides inflammables. "
Voici un autre exemple. Lorsqu'on fait référence aux cigarettes comme un danger pour la santé, on pourrait décrire le risque comme " x nombre de fumeurs par 100 000 qui seront susceptibles de développer un cancer des poumons " ou " les fumeurs de cigarettes sont x fois plus susceptibles de mourir d'un cancer des poumons que les non-fumeurs. " Ces types d'affirmations illustrent que l'usage du tabac (le danger) augmente le risque (la probabilité) de développer un cancer des poumons, une maladie potentiellement mortelle.

Les dangers en milieu de travail proviennent d'un large éventail de sources. Un objet (p. ex. un couteau acéré), une substance (p. ex. un produit chimique toxique comme l'amiante), une source d'énergie (p. ex. l'électricité), une condition (p. ex un plancher mouillé), un procédé (p. ex. le soudage) ou une pratique (p. ex. l'exploitation minière en roche dure) peut constituer un danger. Ce sont des sources de dangers en ce sens qu'ils peuvent causer des préjudices. Les couteaux peuvent causer des blessures, une exposition à l'amiante peut causer un mésothéliome, un plancher mouillé peut faire perdre pied et causer une chute, et ainsi de suite.

Les pratiques ou les conditions qui peuvent libérer de l'énergie non maîtrisée sont également considérées comme autant de dangers en milieu de travail. Par exemple, un objet qui peut tomber d'une certaine hauteur est considéré comme un danger parce que la chute de ce dernier, causée par l'énergie potentielle ou gravitationnelle, peut entraîner de graves préjudices aux biens ou aux personnes sur lesquels tombe cet objet. La libération potentielle de vapeur ou de gaz comprimé dans l'atmosphère, causée par la pression ou la température élevée, est un autre exemple de ce type de danger.

Il faut se rappeler qu'un danger est la propriété ou la capacité intrinsèque de causer un préjudice (blessure, maladie ou autres effets néfastes pour la santé). Il ne cause pas nécessairement un préjudice. Le risque, c'est-à-dire la probabilité de survenue du danger, dépend de plusieurs " facteurs de risque ", à savoir les dangers présents, la méthode, la fréquence et le degré d'exposition au danger, les effets qui peuvent en résulter ainsi que la probabilité et la gravité d'un préjudice potentiel.



Nouvelles de nos partenariats

Campagne " Prevent-it " de la Commission de la sécurité professionnelle et de l'assurance contre les accidents du travail print this article

Selon la Commission de la sécurité professionnelle et de l'assurance contre les accidents du travail, l'an dernier, en Ontario, un peu moins de 350 travailleurs sont décédés à la suite de blessures et de maladies, et plus de 277 000 ont souffert de blessures ou de maladies au travail. Certaines personnes qualifieraient ces événements " d' accidents ".

Cependant, la CSPAAT envoie un message clair selon lequel les accidents au travail n'existent pas. Chacun de ces soi-disant " accidents " au travail aurait pu être évité.

Dans une nouvelle campagne de marketing à caractère social lancée en octobre de cette année, la CSPAAT désire changer la façon de penser des gens. Son message est le suivant : les blessures et les décès dans un milieu de travail sont inacceptables, intolérables et peuvent être évités entièrement. La campagne vise à faire des lieux de travail de l'Ontario les plus sûrs au Canada. Pour ce faire, elle désire passer de la sensibilisation à l'action, et répand le message par l'entremise de la télévision, des journaux, des transports en commun, de la publicité extérieure et du Web.

Une composante importante de cette nouvelle campagne est le lancement d'un nouveau site Web, www.prevent-it.ca, qui offre de l'information sur la prévention des blessures et des maladies au travail. De façon unique et créative, le site informe les employés, les superviseurs, les travailleurs, les comités de santé et sécurité, les enseignants et les parents de leurs droits et de leurs responsabilités en matière de sécurité au travail.

Le site Web " Prevent-it.ca " est divisé en sections dont les titres sont accrocheurs et parlent d'eux-mêmes. Par exemple, un section intitulée " Watch-it " contient des fichiers téléchargeables sur les publicités et campagnes antérieures de la CSPAAT. " Experience-it " fournit des témoignages de personnes dont la vie a été affectée par des dangers au travail. " Learn-it " énumère des ressources en santé et sécurité, et comporte une " banque " interactive de sujets et de statistiques d'actualité. " Get-it " est une autre section qui offre des ressources, y compris des listes de vérification en matière de sécurité, des outils et plus encore. Les visiteurs du site peuvent même répandre le message en envoyant par courriel un formulaire à leurs collègues, superviseurs et amis, à partir de la section " Spread-it ".

Prévenir les blessures au travail est la responsabilité de tous - y compris des travailleurs, des employeurs, des superviseurs, des membres des comités de santé et sécurité, des parents et des enseignants.

Nouvelles du CCHST

Ressources en matière de santé et sécurité pour soutenir la formation de la main-d'oeuvreprint this article

Depuis quelque temps, les centres de formation de la main-d'œuvre ont fait de l'apprentissage en milieu de travail une réalité pour les travailleurs au Canada et dans le monde. Ces centres de formation s'efforcent d'aider les travailleurs à améliorer leurs habiletés professionnelles et leur fournissent de l'information pour assurer leur bien-être et leur sécurité au travail.

Il existe maintenant un programme qui offre de l'aide aux aidants - les centres de formation qui se spécialisent dans l'aide aux travailleurs. Le Programme de soutien pour les syndicats (PSS) du CCHST a été conçu pour répondre aux besoins de formation et d'éducation du monde du travail. Le programme regroupe une collection de quatre bases de données crédibles sur la santé et la sécurité au travail ainsi que l'hygiène du milieu, spécialement sélectionnées et mises en marché pour les centres de formation de la main-d'œuvre et pour les membres des syndicats qui ont des responsabilités en matière de santé et sécurité.

Le Programme de soutien pour les syndicats (PSS) est offert exclusivement aux centres de formation de la main-d'œuvre comme outil pour former des stagiaires en ce qui concerne la santé et la sécurité au travail et l'importance d'un environnement sain et sûr. Ce programme donne accès à quatre ressources importantes, entre autres : " MSDS ", CHEMpendium™ , RTECS® et OSHLINE® with NIOSHTIC® /NIOSHTIC-2.

Ensemble, ces bases de données fournissent de l'information sur une vaste gamme de sujets touchant à la santé et sécurité au travail et à l'hygiène du milieu, notamment l'hygiène du travail, les produits chimiques dangereux, les effets de substances chimiques sur la santé humaine, le SIMDUT, la communication des renseignements concernant les risques, la toxicologie et les études de cas. De façon plus spécifique, le programme offre :


  • des renseignements fiables qui font autorité, provenant des sources en SST et en santé environnementale les plus crédibles dans le monde
  • des possibilités de formation pour les travailleurs qui ont des responsabilités en matière de santé et sécurité
    d
  • e puissantes capacités de recherche simultanée dans les diverses bases de données
  • l'accès à des références à jour sur les documents et ressources en SST et sur les produits chimiques
  • des fonctions simples et efficaces de téléchargement, d'impression et d'enregistrement.


Conformément à l'engagement du CCHST de rendre accessibles au plus grand nombre ces ressources en santé et sécurité à un prix abordable, les frais d'abonnement annuels de 1 195 $ (comprenant l'accès illimité par poste de travail) représente une fraction de la pleine valeur de chaque base de données achetée séparément - soit une épargne considérable! Voici enfin de l'aide pour les aidants!

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