Entretien périodique - le jeudi 12 juillet à 17 h HAE
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Sujet d'actualité
Vous n’avez qu’à marcher vers un lieu de travail pour constater que l’électricité est omniprésente, que ce soit par les outils électriques et les dispositifs d’éclairage qu’elle alimente ou par les lignes électriques aériennes ou les câbles souterrains dans lesquels elle circule. L’électricité est si ancrée dans les activités quotidiennes d’un lieu de travail qu’il est facile d’oublier que cette forme d’énergie courante constitue aussi un grave risque en milieu de travail.
Il faut très peu de courant électrique pour blesser gravement ou même tuer un travailleur. Selon le National Institute for Occupational Safety and Health (NIOSH), le contact direct d’un corps humain avec un circuit pouvant générer moins d’un ampère d’électricité (moins que le courant d’une ampoule de 100 watts) peut entraîner un arrêt respiratoire chez un travailleur (fibrillation) et un contact direct avec un circuit de 15 ampères, soit l’équivalent d’une prise de courant domestique ordinaire, peut être mortel.
En Ontario, de 2008 à 2017, 33 travailleurs sont décédés d’une électrocution (décès accidentel attribuable à un contact avec l’électricité) ou des suites de brûlures électriques subies au travail.
L’électricité au travail
Un risque électrique est une situation dangereuse où un travailleur pourrait entrer en contact avec le courant électrique alimentant de l’équipement sous tension et être victime d’une blessure découlant d’un choc, d’une brûlure par arc électrique, d’une brûlure thermique ou d’une lésion par souffle.
L’électricité emprunte les voies les plus faciles et les plus courtes vers le sol. Les personnes ou les objets s’approchant trop près d’un fil électrique ou le touchant peuvent devenir partie intégrante d’un circuit électrique. La quantité de courant qui circule dans le corps humain est déterminée par la résistance de celui-ci : plus la résistance du corps est faible, plus le courant qui y circule est élevé, ce qui accroît le risque de choc électrique mortel ou de brûlures graves.
Le corps peut devenir un bon conducteur d’électricité puisqu’en entrant en contact avec un fil sous tension ou un fil électrique, il conduit le courant électrique de ce fil vers le sol, bouclant ainsi un circuit. La tension électrique et la puissance du courant électrique qui alimentent nos commerces et nos foyers sont suffisamment élevées pour entraîner un décès par électrocution. Le simple fait de changer une ampoule électrique sans débrancher la lampe peut être dangereux si l’on entre en contact avec les éléments sous tension de la douille.
Les travailleurs à risque
Les ingénieurs, les électriciens et les personnes travaillant sur les lignes électriques aériennes sont au sommet de la liste des professionnels exposés aux risques électriques. L’installation et les réparations de circuits électriques, l’essai des appareils d’éclairage et de l’équipement ainsi que les activités d’entretien et d’inspection font partie des tâches quotidiennes mettant ces travailleurs en danger. Aussi, certains milieux de travail présentent davantage de risques électriques. Par exemple, sur un chantier de construction, certains risques électriques courants sont associés au travail sur des échelles ou des échafaudages près de conducteurs aériens ou à l’utilisation de matériel de levage près d’un réseau électrique aérien sous tension. Une mise à terre inadéquate de génératrices, des cordons électriques usés ou endommagés et des outils électriques branchés sans double gaine isolée sont également dangereux.
Les personnes travaillant indirectement avec l’électricité, notamment les employés de bureau, les peintres et les conducteurs d’équipement, sont aussi exposées aux risques électriques.
Les blessures découlant des courants électriques
On compte quatre types principaux de blessures : électrocution (mortelle), choc électrique, brûlure et chute. Ces blessures peuvent se produire de diverses façons.
Rôles et responsabilités
Il incombe aux employeurs de protéger les travailleurs des risques électriques. Les employeurs, les gestionnaires et les superviseurs devraient encourager les travailleurs à poser des questions ou à faire connaître leurs préoccupations concernant les risques électriques. De plus, ils devraient bien connaître les risques électriques auxquels sont exposés les travailleurs et être en mesure de les repérer sur le lieu de travail.
Les superviseurs doivent fournir aux travailleurs de l’information, leur donner des consignes et les superviser afin de protéger leur santé et leur sécurité. Les superviseurs doivent veiller à ce que les travailleurs portent l’équipement et les dispositifs de protection individuelle exigés par l’employeur. Il incombe au superviseur d’informer les travailleurs des dangers connus pour leur santé et leur sécurité et de leur fournir par écrit les consignes prescri
Conseils et outils
Votre lieu de travail passe-t-il le test de la courtoisie? Dans un milieu de travail où règne le respect, les employés sont courtois, attentionnés et prévenants les uns avec les autres, ainsi qu’à l’égard des clients et du public.
Pour les travailleurs, un milieu de travail où règnent la courtoisie et le respect est associé à une plus grande satisfaction professionnelle, à une perception accrue de justice et à une attitude plus positive. Un meilleur moral, un meilleur esprit d’équipe, de meilleures relations entre le superviseur et le personnel sont bénéfiques pour l’organisation, ce qui réduit les congés de maladie et le taux de roulement. Lorsqu’on traite les personnes avec respect, elles s’intéressent davantage à leur perfectionnement personnel, participent à la résolution de problèmes et, en général, apprécient davantage leur environnement.
Alors, comment pouvez-vous y arriver? Voici dix conseils pour vous aider à faire du respect et de la courtoisie la norme dans votre milieu de travail.
Offrez une formation et des ressources sur un milieu de travail où règnent la courtoisie et le respect, portant, par exemple sur l’écoute, la rétroaction, la résolution de conflits, la gestion de la colère et la gestion de clients difficiles. Il est aussi important que le personnel apprennent à reconnaître ce qui constitue un comportement non courtois et comment le gérer.
Adoptez un langage non discriminatoire et préservez la confidentialité des renseignements personnels des employés dans toutes les communications. Assurez-vous que les communications sont faciles à trouver et accessibles à tous en les affichant bien en vue sur les babillards, dans les manuels de l’employé ou en ligne.
Le respect fondamental est le fondement des relations de travail. Un milieu de travail courtois est un milieu où l’apport de chacun est reconnu et valorisé, et où notre attention est centrée sur la conversation en cours. Pour ce faire, vous devez accorder toute votre attention aux gens et aux réunions. Assurez-vous d’éteindre votre cellulaire ou tout autre appareil susceptible de vous distraire. Si vous prévoyez être en retard à une réunion, prévenez l’organisateur à l’avance.
S’il-vous-plaît… Merci… Excusez-moi… Je suis désolé sont des mots que vous pouvez utiliser régulièrement pour créer un climat de courtoisie. Exprimez votre reconnaissance à vos collègues pour leur aide, évitez d’interrompre les autres lorsqu’ils parlent et présentez des excuses sincères si vous avez offensé quelqu’un par erreur. Ces gestes apparemment anodins contribuent tous à une culture générale de respect en milieu de travail.
Dans un milieu de travail difficile, il est courant que des collègues ne daignent pas se saluer. La prochaine fois que vous croiserez un collègue dans le couloir ou dans la salle à manger, saluez-le. La courtoisie est contagieuse et contribue à un bon moral.
L’humour au travail peut prendre plusieurs formes et ce ne sont pas toutes les formes d’humour qui sont adéquates et appréciées de tous. Avant de faire une blague, prenez en compte votre auditoire. La blague est-elle faite au détriment d’une personne? Pourrait-elle être embarrassante ou dégradante? Si vous répondez par l’affirmative à l’une ou l’autre de ces questions, alors ne racontez pas la blague.
Soyez courtois et amical. Ces comportements favorisent une culture de travail positive. Découvrez comment vos collègues de travail aimeraient être abordés. Évitez de donner des surnoms ou des sobriquets à une personne puisque cela peut être perçu comme dénigrant et condescendant. Cherchez des occasions d’inclure d’autres personnes avec qui vous n’auriez normalement pas de contacts sociaux en soulignant leur anniversaire, en les invitant à dîner et en leur demandant leur avis. Tout le monde veut être reconnu et avoir un sentiment d’appartenance. Il peut être très gratifiant de surmonter les barrières sociales pour découvrir de nouvelles associations.
Accordez aux autres le mérite qui leur revient lorsqu’ils font du bon travail. En étant modeste et en élevant les autres, vous pouvez contribuer à créer une culture de générosité et de confiance, tout en permettant aux autres de partager la satisfaction d’un travail bien fait.
Faites la promotion d’un comportement de leadership respectueux tout en le renforçant. Fournissez aux gestionnaires et aux superviseurs la formation et le soutien appropriés, et assurez-vous qu’ils sont disponibles, présents et en contact avec les travailleurs pour être en mesure de reconnaître et de résoudre les problèmes.
En plus de démontrer le type de comportement que nous attendons des autres, il est tout aussi important pour les employeurs de s’attaquer aux situations nuisant à la courtoisie. Élaborez et appliquez des lignes directrices et des politiques décrivant en détail les attentes et les conséquences d’un comportement inapproprié. Permettez une résolution constructive des problèmes. Gérez les conflits de façon efficace et opportune et assurez un suivi auprès de toutes les parties concernées.
Les petits gestes quotidiens de courtoisie, d’attention et de considération peuvent faire beaucoup pour aider les gens à se sentir en sécurité, à l’aise et respectés au travail.
Ressources :
Nouvelles de nos partenariats
Ils accompagnent leur proches vieillissants, malades ou handicapés à leurs rendez-vous chez des spécialistes, préparent les repas, font la lessive et aident à surveiller la prise de médicaments. Les travailleurs-aidants assistent même leurs proches à s’acquitter de tâches très personnelles, comme prendre un bain, s’alimenter et se vêtir, et ce, tout en composant avec les exigences d’un emploi à temps plein ou à temps partiel. Appelés « travailleurs-aidants », ces Canadiens sont au nombre de 5,6 millions. Ils prodiguent des soins et donnent de l’aide à leur famille ou à leurs amis vivant avec des incapacités permanentes, tout en occupant un emploi rémunéré.
Selon les données de 2012 de Statistique Canada, ces travailleurs-aidants représentent 35 % de l’effectif et bénéficient rarement de soutien au travail pour s’acquitter de leurs responsabilités, ce qui leur fait manquer des journées de travail, abaisse leur productivité ou les poussent à quitter leur emploi. Pour soutenir ces travailleurs et les maintenir en bonne santé et en poste, une nouvelle norme a été publiée, soit la norme CSA B701-17 Organisations favorisant et appuyant les aidants naturels.
« Avec le vieillissement de notre population, on s’attend davantage à ce que les proches remplissent ce rôle additionnel et informel d’aidants tout en continuant de travailler, et ce, habituellement à temps plein », affirme Allison Williams, professeure de l’Université McMaster et de la chaire de recherche sur le genre, la santé et les milieux de travail adaptés aux aidants naturels des Instituts de recherche en santé du Canada. « Les répercussions sont de plus en plus importantes sur les employés et les milieux de travail ».
La norme élaborée par Williams, en partenariat avec l’Association canadienne de normalisation et en consultation avec 30 partenaires d’un certain nombre de secteurs, notamment le Centre canadien d’hygiène et de sécurité au travail, offre aux employeurs des solutions, de l’information et des études de cas pour les aider à mettre en œuvre des politiques et des programmes destinés à créer des milieux de travail plus pratiques et inclusifs pour les aidants.
Ces lignes directrices recommandent aux employeurs des façons d’appuyer les travailleurs-aidants : offre de modalités de travail plus souples, comme le partage d’emploi et la possibilité de faire du télétravail; modification des programmes d’aide aux employés et des programmes d’avantages sociaux; prestation de services de counseling et offre de possibilités de congés payés ou non payés.
« Nous devons veiller à ce que les superviseurs et les gestionnaires à tous les niveaux, ainsi que les collègues, comprennent qu’il s’agit d’un enjeu lié au milieu de travail, et non seulement un enjeu privé. De plus, il incombe aux milieux de travail de soutenir les travailleurs-aidants dans leurs efforts pour équilibrer de multiples demandes. »
C’est un enjeu qui, selon Williams, gagnera en importance au fil du temps. Les employés et les milieux de travail en ressentiront de plus en plus les conséquences. Elle affirme que « les employeurs doivent vraiment apporter leur contribution et qu’il existe différentes possibilités d’adapter le milieu de travail aux besoins des travailleurs-aidants au moyen de l’innovation stratégique, qui aide les travailleurs à gérer cet enjeu crucial et grandissant qu’est l’équilibre travail-vie personnelle. »
Il est possible d’acheter la norme CSA B701-17 Organisations favorisant et appuyant les aidants naturels ainsi que le guide de mise en œuvre connexe sur le site Web de l’Association canadienne de normalisation.
Balados
Les balados présentés ce mois-ci comprennent Tenir compte de l’hypersensibilité aux parfums en milieu de travail et présente une reprise du balado « Recognizing Radon ».
Balado en vedette : Tenir compte de l’hypersensibilité aux parfums en milieu de travail
Aidez vos collègues à respirer librement en conservant un milieu de travail sans parfum. Cette baladodiffusion parle des enjeux liés à l'hypersensibilité aux parfums en milieu de travail et fournit de l'information sur les répercussions des parfums sur la santé de vos collègues.
La durée du balado est de 4 min 21 s. Écoutez le balado maintenant.
Reprise du balado : « Recognizing Radon »
Le radon est un gaz incolore, inodore et insipide libéré lorsque l’uranium, qui se trouve naturellement dans la roche et le sol, se dégrade. On le classe parmi les substances cancérigènes connues et parmi les premières causes du cancer du poumon chez les non-fumeurs. Au Canada, on trouve du radon dans les habitations (nouvelles ou vieilles), dans les immeubles publics et dans les lieux de travail souterrains. Dans ce balado, la Dre Cheryl Peters, boursière postdoctorale à l’Université de Carleton et chercheuse principale en expositions professionnelles chez CAREX Canada, nous parle du radon, des lieux où on le trouve, des effets qu’il peut avoir sur notre santé et des moyens que nous pouvons prendre pour limiter notre exposition à ce gaz.
La durée du balado est de 8 min 22 s. Écoutez le balado maintenant.
Le CCHST produit chaque mois des balados GRATUITS conçus pour vous informer des derniers renseignements, conseils, études et avis d’experts diffusés en ce qui concerne la santé, la sécurité et le mieux-être des travailleurs canadiens. Cette collection de balados que vous pouvez télécharger et écouter au moment et à l’endroit de votre choix vous offre vraiment De la SST pour emporter!
Parcourez la liste complète des sujets traités dans les balados. Mieux encore, abonnez-vous sur iTunes afin de ne pas manquer un seul épisode.
Nouvelles du CCHST
Le monde du travail change constamment et rapidement, entraînant avec lui de nouvelles questions de santé et de sécurité. Prenez une longueur d’avance en participant au Forum 2019 : Le monde du travail en constante évolution, qui aura lieu les 5 et 6 mars 2019 à Winnipeg (Manitoba). Le futurologue de renommée mondiale Nikolas Badminton ouvrira la voie avec une présentation sur l’intelligence artificielle et l’évolution du marché du travail au cours des 5, 10, 15 prochaines années et plus.
Penchez-vous plus amplement sur les technologies et leurs répercussions indéniables et apprenez à mieux comprendre les liens réciproques entre l’effectif en évolution et notre culture dans son ensemble. Découvrez le nouveau milieu de travail, où les mesures d’adaptation, la diversité et l’inclusion ne sont pas seulement souhaitables, mais indispensables à toute organisation. Venez écouter des récits empreints de courage sur le leadership, la motivation, l’esprit d’équipe et la confiance.
Pendant deux jours, vous aurez l’occasion de rencontrer des dirigeants, des personnes d’influence et des agents de changement ayant des points de vue très différents provenant de partout au Canada. Vous découvrirez comment l’évolution de l’effectif, du milieu de travail et de la nature du travail a déjà eu une incidence sur nous et sur notre façon de travailler. Enfin, vous pourrez vous exprimer sur des idées et des solutions qui nous permettront de suivre le rythme et d’assurer notre bien-être et notre sécurité.
Conférenciers experts incluent :
À propos du Forum
Le Forum 2019 du CCHST aura lieu les 5 et 6 mars 2019, à Winnipeg (Manitoba).
Inscrivez-vous d’ici le 30 novembre et économisez 100 $. Des rabais sont aussi offerts aux membres du CCHST et aux étudiants à temps plein.
Renseignez-vous sur le Forum et inscrivez-vous
Mot de la fin xx
Le CCHST est à la recherche d’étudiants consciencieux et engagés inscrits à un programme d’études sur la santé et la sécurité au travail pour poser leur candidature à la Bourse d’études Dick Martin. Offerte tous les ans, cette bourse d’études nationales est accessible à tous les étudiants inscrits à un cours ou à un programme d'études du domaine de la santé et de la sécurité au travail menant à l’obtention d’un certificat, d’un diplôme ou d’un grade en santé et en sécurité au travail décerné par une université ou un collège reconnu au Canada.
Deux bourses d’études d’une valeur de 3000 $ chacune seront accordées à des étudiants méritants, l’une à un étudiant de niveau universitaire et l’autre à un étudiant de niveau collégial. Une bourse de 500 $ sera également accordée à l’établissement d’enseignement de chacun des étudiants méritants.
Pour poser leur candidature pour obtenir la bourse, les étudiants de niveau postsecondaire sont invités à soumettre une composition de 1000 à 1200 mots sur un de deux sujets liés à la santé et à la sécurité au travail. Les compositions seront jugées en fonction de leur contenu, de leur valeur pratique et théorique ainsi que de leur présentation et style.
Pour connaître les règles relatives à la demande, les critères et les autres directives, consultez www.cchst.ca/scholarship.
Si vous n’êtes pas un étudiant, mais en connaissez, vous pourriez leur transmettre ce message.
La limite pour poser sa candidature est le 31 janvier 2019, 23 h 59, heure de l’Est, et les noms des gagnants seront annoncés durant la Semaine nord-américaine de la sécurité et de la santé au travail (SNASST), en mai 2019.
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Préparé par le Centre canadien d'hygiène et de sécurité au travail, le Rapport sur la santé et la sécurité est un bulletin de nouvelles mensuel qui fournit des renseignements, des conseils et des ressources pour aider à maintenir un milieu de travail sain et sécuritaire, et assurer le mieux-être global des travailleurs.
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