Entretien périodique - le jeudi 12 juillet à 17 h HAE
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Sujet d'actualité
Rebecca aime travailler à la maison, mais il n’en a pas toujours été ainsi. Il y a plusieurs mois, lorsqu’elle a dû passer au travail à distance en raison de la COVID-19, elle a trouvé ce changement difficile à gérer. L’impossibilité d’interagir en personne avec ses collègues et son superviseur était stressante et elle se sentait anxieuse et seule. Conscient du bien-être de Rebecca, son gestionnaire a pu ajuster sa charge de travail, chercher à comprendre ses besoins et lui fournir l’équipement nécessaire pour qu’elle se sente plus à l’aise de travailler à domicile. Sachant qu’elle avait le soutien de son gestionnaire, Rebecca a pu exploiter sa propre capacité à réagir et à s’adapter aux pressions et aux exigences de sa situation. Elle se sentait plus sûre d’elle, soutenue et efficace.
Les employeurs et les employés dotés d’une grande intelligence émotionnelle sont souvent équipés pour relever avec succès divers défis. En s’appuyant sur leur expérience personnelle et leur conscience émotionnelle, ils sont capables de reconnaître quand leurs collègues ont besoin de soutien et quand ils doivent se soutenir dans les moments d’adversité. Dotées d’empathie, de bienveillance et d’équilibre, les personnes possédant une grande intelligence émotionnelle s’aident et aident leurs collègues à rester en bonne santé, motivés et productifs au travail en créant un environnement de confiance et de soutien.
Définition de l’intelligence émotionnelle
L’intelligence émotionnelle est la capacité à gérer ses émotions et à composer avec les exigences et les pressions du milieu. Cette capacité à comprendre et à gérer ses propres émotions pour atténuer le stress, communiquer efficacement, faire preuve d’empathie, surmonter les difficultés et aider à désamorcer les conflits, se développe en partie au fil des expériences de vie personnelles. L’idée est qu’à partir de nos propres expériences et réalisations, nous apprenons et nous nous épanouissons, ce qui nous permet de mieux reconnaître et comprendre nos propres émotions et celles des autres. L’intelligence émotionnelle nous permet non seulement de gérer nos propres émotions, mais aussi d’aider les autres à gérer les leurs, par exemple en les encourageant ou en les aidant à se calmer.
Un milieu de travail avec des employés et des employeurs émotionnellement intelligents est souvent un lieu où la collaboration est facile, la communication claire et simple et l’environnement convivial. Cela peut avoir une incidence positive sur la santé mentale.
Caractéristiques des personnes dotées d’une intelligence émotionnelle
Les personnes douées d’intelligence émotionnelle comprennent que le changement est inévitable et souvent nécessaire. C’est pourquoi elles ne sont pas réticentes au changement et n’ont pas peur de s’y adapter. Elles savent également quels sont leurs points forts, comment elles aiment travailler, mais sont conscientes qu’elles ont encore beaucoup à apprendre. Elles éprouvent de l’empathie pour elles-mêmes et sont donc généralement capables de s’identifier aux autres. Elles peuvent percevoir ce que vivent leurs collègues ou leurs clients, ce qui peut contribuer à aider tout le monde dans les moments difficiles. Bien que très motivées, elles savent que la perfection est impossible. Elles sont capables de faire face à l’adversité et de tirer les leçons de leurs expériences. Elles reconnaissent l’importance de maintenir un équilibre entre leur vie personnelle et professionnelle, de prendre soin de leur bien-être personnel et d’avoir des centres d’intérêt en dehors du travail. Plutôt que de juger leurs collègues, elles s’efforcent de comprendre leur point de vue. Elles explorent les possibilités, posent des questions et sont ouvertes aux nouvelles solutions. Elles sont bienveillantes. Elles savent que chaque jour offre des raisons d’être reconnaissantes et elles se sentent bien dans leur vie. Posséder toutes ces caractéristiques et les mettre en pratique n’est pas toujours possible, mais en y travaillant et en développant chacune d’elles, notre intelligence émotionnelle peut être enrichie étape par étape.
Mettre l’intelligence émotionnelle en pratique
L’intelligence émotionnelle touche à la fois les personnes et leur lieu de travail. Lorsque la direction incarne et met en pratique les valeurs et les caractéristiques de l’intelligence émotionnelle, elle peut motiver les employés. On peut le constater lorsqu’un supérieur hiérarchique manifeste un intérêt pour le bien-être général des employés et un désir évident de les voir réussir. L’instauration d’une culture de bienveillance sur le lieu de travail et d’un climat de confiance, où les employés se sentent inspirés à travers leur lien émotionnel avec leur lieu de travail, constitue l’un des résultats positifs.
L’une des façons dont les employeurs peuvent utiliser leur intelligence émotionnelle pour motiver leurs employés est de s’assurer que chacun d’entre eux comprend ce que l’on attend d’eux. En même temps, les employeurs doivent travailler avec les employés afin de fixer des objectifs ambitieux mais réalisables, de leur confier des tâches diverses qui leur permettent d’acquérir de nouvelles compétences et de leur offrir un leadership motivant. Cela peut contribuer à renforcer la conscience de soi, caractéristique d’un état émotionnel sain. Il a également été démontré que le fait de souligner le travail des employés lorsqu’ils obtiennent de bons résultats les encourage davantage. Les lieux de travail énergiques et motivants sont caractérisés par ce que l’on appelle un stress positif, qui peut être défini comme un esprit d’équipe positif et un leadership inspirant. En retour, les employés qui sont reconnus et récompensés peuvent se servir de leur expérience pour continuer à développer leur propre intelligence émotionnelle.
La relation entre employé et employeur bénéficie de leur sensibilité commune à l’intelligence émotionnelle et de leur désir de l’améliorer. Rebecca a reçu le soutien émotionnel, psychologique et professionnel dont elle avait besoin de la part de son employeur et de ses collègues pour réussir sa transition vers le travail à domicile. Ce faisant, elle a nourri sa propre intelligence émotionnelle en étant dispo
Conseils et outils
Vous vous réveillez, vous commencez votre journée de travail, vous terminez votre travail, vous prenez du temps pour vous, vous dormez bien, et vous recommencez. Bien que cette routine puisse sembler typique pour de nombreux travailleurs en ce moment, en particulier ceux qui travaillent à domicile, des millions de travailleurs canadiens vivent leurs journées de manière très différente.
Imaginons une journée dans la vie de Jia. À 47 ans, Jia est ingénieure mécanique à plein temps et chef d’équipe. Elle a déjà beaucoup à faire pendant sa journée de travail de huit heures. Elle saute souvent son dîner et ses pauses pour faire une heure de travail supplémentaire afin de pouvoir se sentir à l’aise de quitter son travail à 17 heures. Mais comme pour beaucoup de gens, les tâches de Jia ne s’arrêtent pas une fois qu’elle a quitté son travail de jour.
En plus des attentes très élevées de son employeur qui la poussent souvent à se remettre au travail la nuit, Jia a besoin de temps et d’énergie pour s’occuper de son frère dont le système immunitaire est affaibli et qui ne peut pas quitter son domicile en raison de la pandémie. Pendant ses « temps libres », Jia fait les courses, la lessive, va chercher les médicaments et s’assure que son frère a tout ce dont il a besoin à la maison. Jia doit également s’isoler autant que possible afin de pouvoir continuer à s’occuper de son frère. « C’est mon quotidien », dit Jia en riant, mais comme vous l’avez peut-être deviné, Jia est épuisée.
Connues sous le nom d’« employés-aidants », les personnes comme Jia représentent les 6,1 millions de Canadiens qui travaillent à temps plein et qui prodiguent des soins non rémunérés à une personne adulte à charge, comme un membre de la famille ou un ami. On les retrouve dans tous les secteurs et toutes les professions, et la moitié (50 %) d’entre elles ont entre 45 et 65 ans, ce qui représente les personnes les plus expérimentées sur le marché du travail rémunéré.
Les employés-aidants peuvent avoir du mal à s’acquitter de leurs multiples tâches. Sans le soutien de l’employeur, ils peuvent être confrontés à des problèmes comme l’épuisement professionnel, l’absentéisme, la retraite anticipée ou l’isolement social, ou encore ils peuvent quitter leur emploi. Heureusement, il existe des moyens pour les employeurs de les aider.
Environnement de travail adapté aux aidants naturels
Les employeurs sont responsables de la santé et du bien-être de leurs employés et ont un grand rôle à jouer dans la prise en charge des travailleurs qui sont aussi des aidants naturels. En comprenant les besoins de leurs employés et en faisant preuve de compassion, les employeurs peuvent commencer à apporter des changements réels et tangibles dans l’environnement de travail. La mise en place d’un programme de soutien aux aidants qui décrit les moyens de soutenir et d’accommoder les employés confrontés à des difficultés liées à la conciliation travail-soins, conjuguée à l’établissement de politiques adaptées à leurs besoins, aidera les employés à se sentir soutenus. Dans le cas de Jia, par exemple, si son gestionnaire équilibre sa charge de travail pour qu’elle soit plus gérable et la consulte régulièrement à ce sujet, cela pourrait contribuer à réduire son stress.
Pour commencer à créer un environnement de travail favorable aux aidants naturels, les organisations peuvent consulter gratuitement le Guide de mise en œuvre rapide, qui appuie la norme du Groupe CSA B701-17 : Organisations favorisant et appuyant les aidants naturels. Le Guide s’adresse à toutes les organisations, peu importe leur taille ou le secteur d’activité. Les employeurs sont encouragés à l’appliquer pour aider à créer des mesures d’adaptation pratiques et efficaces en milieu de travail pour les aidants, ce qui est particulièrement nécessaire en ces temps sans précédent.
Un environnement de travail dans lequel des pratiques adaptées et inclusives sont mises en place permettra aux aidants naturels comme Jia d’avoir confiance en leur capacité d’être productifs tant au travail qu’en dehors de celui-ci tout en se sentant rassurés par le fait que leur employeur se soucie de leur santé et de leur bien-être.
Ressources
Nouvelles de nos partenariats
Les camionneurs sont exposés aux gaz d’échappement des moteurs diesel. Est-ce que ça explique la hausse de 60 % du risque de cancer du poumon ? Est-ce que la fumée de soudage hausse de 66 % le risque de cancer du rein chez les soudeurs ? Et le travail par quarts peut accroître le risque de cancer du sein. Les travailleurs de la santé sont-ils exposés à un risque ?
Les travailleurs sont régulièrement exposés à des produits chimiques et à des dangers en milieu de travail. Puisque les gens passent environ le tiers de leur vie éveillée au travail et cela peut avoir d’importantes répercussions à long terme en santé. Bon nombre de ces expositions peuvent causer le cancer et d’autres maladies. Un nouvel outil interactif en ligne est maintenant accessible pour explorer le lien entre l’emploi et le risque de maladie en Ontario.
Le site Web Statistiques de l’Ontario sur les maladies professionnelles contient de l’information sur le risque de cancer professionnel et d’autres maladies chez les groupes de travailleurs dans la province. Les outils de données interactifs permettent une analyse approfondie des risques dans différents secteurs, y compris les domaines de la construction, des soins de santé, du transport et de la transformation des métaux, ainsi que dans l’industrie, et d’autres secteurs seront ajoutés dans les prochains mois. Les infographies de sommaire de chaque secteur mettront aussi en lumière les constatations qui peuvent être utilisées pour rendre les milieux de travail plus sûrs.
Les résultats et les données utilisées pour le site Web sont générés à partir du Système de surveillance des maladies professionnelles (SSMP) et d’autres sources de données. Au Canada, les maladies professionnelles n’ont pas fait l’objet d’un bon suivi, et bon nombre passent inaperçus. Les chercheurs du Centre de recherche sur le cancer professionnel ont créé le SSMP pour aider à identifier les travailleurs exposés à des risques élevés de contracter une maladie en Ontario. Le SSMP comprend plus de 2 millions de travailleurs qui reçoivent des indemnités de la Commission de la sécurité professionnelle et de l’assurance contre les accidents du travail (CSPPAT) de l’Ontario pendant leur absence du travail. Les chercheurs ont assuré le suivi des travailleurs en cas de diagnostic ultérieur de cancer et d’autres maladies.
Le site Web se veut une plateforme visant à accroître la sensibilisation aux maladies professionnelles à l’échelle du système de santé et sécurité au travail de l’Ontario. L’information sert également à détecter le risque accru de maladie pour les groupes de travailleurs, par industrie ou profession. En fin de compte, ces résultats peuvent aider à faire des changements dans le milieu de travail pour réduire l’exposition aux substances nocives et à garantir la santé des travailleurs.
L’outil Statistiques de l’Ontario sur les maladies professionnelles a été créé grâce à un partenariat entre le Centre de recherche sur le cancer professionnel et le CCHST qui sont appuyés financièrement par le CSPAAT. Le site Web sera élargi par secteurs industriels et l’information sur l’exposition professionnelle et la prévention sera ajoutée l’an prochain.
Consultez le site Web de Statistiques de l’Ontario sur les maladies professionnelles.
Balados
Le nouveau balado de ce mois-ci présente une conversation sur l'intelligence émotionnelle et son importance sur le lieu de travail.
Balado en vedette: « Emotional intelligence: What it is and why it matters »
Ce n'est pas un nouveau terme, mais il attire l'attention alors que de plus en plus de personnes étudient ses possibilités pour améliorer leur vie quotidienne. Le nouveau balado de ce mois-ci présente une conversation sur l'intelligence émotionnelle et son importance sur le lieu de travail. Sue Freeman, coach en intelligence émotionnelle et psychothérapeute d'expérience, parle de l'intelligence émotionnelle, des raisons de son importance sur le lieu de travail et de la manière dont nous pouvons développer notre propre quotient émotionnel (QE).
La durée du balado est de 10:11 min. Écoutez le balado maintenant.
Reprise du Balado : Regard sur les incapacités invisibles
D'après l'Enquête canadienne sur l'incapacité de 2017, une personne sur cinq âgée entre 25 et 64 ans est atteinte d'au moins une incapacité. Cela signifie qu'environ quatre millions d'adultes ont des limitations (conditions physiques, douleur chronique, troubles cognitifs, maladie mentale), dont beaucoup ne sont pas immédiatement apparentes. Prendre des mesures d'adaptation pour ces travailleurs ayant une incapacité invisible n'est pas seulement une exigence législative, c'est aussi dans l'intérêt des employeurs.
La durée du balado est de 6 min 59s. Écoutez le balado maintenant.
Le CCHST produit chaque mois des balados GRATUITS conçus pour vous informer des derniers renseignements, conseils, études et avis d’experts diffusés en ce qui concerne la santé, la sécurité et le mieux-être des travailleurs canadiens. Cette collection de balados que vous pouvez télécharger et écouter au moment et à l’endroit de votre choix vous offre vraiment De la SST pour emporter!
Parcourez la liste complète des sujets traités dans les balados. Mieux encore, abonnez-vous sur iTunes afin de ne pas manquer un seul épisode. Écoutez sur Spotify.
Nouvelles du CCHST
Comme la situation continue d’évoluer en ce qui concerne la COVID-19, le Centre canadien d’hygiène et de sécurité au travail a prolongé l’accès gratuit à des cours et des publications en ligne utiles jusqu’au 31 mars 2021. Les lieux de travail sont encouragés à utiliser et à partager largement ces ressources afin de prévenir la propagation et d’assurer la sécurité des travailleurs et des communautés.
Autres cours liés à la pandémie
Publications liées à la pandémie
Autres ressources du CCHST :
Nouvelles ressources COVID-19
Quels sont mes droits en matière de santé et sécurité, dans le contexte de la COVID-19? Puis-je refuser un travail dangereux?
Mon employeur peut-il imposer le port d’un masque?
Que devrais-je faire si le retour au travail m’occasionne du stress et de l’anxiété?
En tant que travailleur, vous pourriez être préoccupé par la COVID-19 et ses répercussions sur votre travail. Votre employeur a la responsabilité de prendre toutes les précautions raisonnables pour vous protéger contre les maladies et les blessures. Il devrait avoir mis en place des politiques et des pratiques que vous devez connaître, comprendre et respecter.
Pour en apprendre davantage sur vos droits et vos responsabilités ainsi que sur les mesures à prendre pour assurer votre sécurité et celle des autres, consultez notre guide Prévention de la COVID-19 chez les travailleurs.
Infographie
La prévention de la propagation de la COVID-19 en milieu de travail commence à la maison. Comprenez les facteurs professionnels et personnels qui vous permettront de réduire le risque d’exposition. Prenez les mesures pour assurer votre sécurité et celle des autres, tant au travail qu’à l’extérieur du travail, et sachez quoi faire si vous avez été exposé ou si vous présentez des symptômes.
Partagez cette infographie sur les mesures à prendre au travail et à la maison pour réduire le risque d’exposition à la COVID-19 et prévenir la propagation de la maladie.
Législation
Les lois sur la santé et la sécurité au travail sont en constante évolution. Ce mois-ci, nous soulignons les modifications apportées à la réglementation provinciale du Québec sur la santé et la sécurité du travail dans les mines et sur l’enfouissement et l’incinération de matières résiduelles.
Québec
Règlement sur la santé et la sécurité du travail dans les mines (Loi sur la santé et la sécurité du travail) : le décret 945-2020 est en vigueur, à l’exception de l’art. 3, modifiant les art. 2, 17, 439 et 476 (pour mettre à jour le renvoi à la norme CSA, 421-11) et abrogeant la sous-section 2 de la section XI (art. 481 à 484).
Règlement sur l’enfouissement et l’incinération de matières résiduelles (Loi sur la qualité de l’environnement) : le décret 868-2020 est en vigueur (à l’exception des art. 47, 48, 57 [paragr. 2] et 63), modifiant considérablement l’objet de l’art. 3 du Règlement qui est de prescrire quelles matières résiduelles sont admissibles dans les installations mentionnées à l’art. 2, les conditions dans lesquelles celles-ci doivent être aménagées et exploitées ainsi que les conditions applicables à leur fermeture et à leur gestion après fermeture.
Pour obtenir plus de renseignements sur les changements récents à la réglementation, le CCHST offre un service d’abonnement payant, Législation enviroSST canadienne plus Standards, qui regroupe en un seul endroit tous les textes législatifs dont vous avez besoin en matière de santé, de sécurité et d’environnement.
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Préparé par le Centre canadien d'hygiène et de sécurité au travail, le Rapport sur la santé et la sécurité est un bulletin de nouvelles mensuel qui fournit des renseignements, des conseils et des ressources pour aider à maintenir un milieu de travail sain et sécuritaire, et assurer le mieux-être global des travailleurs.
Vous pouvez annuler votre inscription en tout temps. Si vous avez reçu ce bulletin de nouvelles par l'intermédiaire d'un ami, pourquoi ne pas vous inscrire vous-même?
Le respect de la vie privée vous préoccupe? Le CCHST ne vend pas et ne partage pas vos renseignements personnels. Consultez notre politique en matière de respect de la vie privée.'
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Balado
27-28 mai 2025