Entretien périodique - le jeudi 12 juillet à
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Milieux de travail sains (transcription de la vidéo)
CCHST - transcription de la vidéo YouTube
Conférencier/conférencière no 1
Bienvenue à tous et merci de participer à notre discussion sur les milieux de travail sains – première discussion d’une série de quatre intitulée Au-delà de l’évaluation pour les programmes de santé mentale au travail. Mon nom est Sue Freeman et je serai votre modératrice aujourd’hui. Quelques mots au sujet du CCHST. Le CCHST est la ressource nationale du Canada pour l’avancement de la santé et de la sécurité au travail.
Depuis plus de 40 ans, le CCHST soutient la santé physique et psychologique, la sécurité et le bien-être total des travailleurs. Pour ce faire, le CCHST mobilise les intervenants et collabore avec eux, offre des renseignements, des formations, des outils et des solutions qui contribuent à prévenir les accidents et les maladies liés au travail afin d’améliorer la vie des travailleurs. Je vous présente Lin Yu, qui se joint à notre discussion d’aujourd’hui. Lin est spécialiste en santé et sécurité au Centre canadien d’hygiène et de sécurité au travail et conseillère en santé et sécurité psychologiques certifiée par l’Association canadienne pour la santé mentale.
Lin a créé de nombreux outils éducatifs et de référence sur la santé mentale au travail et est heureuse de partager et d’apprendre avec le plus grand nombre. Nous souhaitons la bienvenue à Lin et la remercions d’être avec nous aujourd’hui.
Conférencier/conférencière no 2
Merci, Sue. C’est un plaisir pour moi d’être ici.
Conférencier/conférencière no 1
Lin, quand on parle de milieux de travail sains dans le contexte de la santé mentale au travail, qu’est-ce que cela signifie?
Conférencier/conférencière no 2
Pour commencer, j’aimerais porter notre attention sur le titre de cette série : Au-delà de l’évaluation. Nous savons qu’il existe aujourd’hui de nombreux outils d’évaluation des résultats de santé et de sécurité psychologiques dans le milieu de travail. Ainsi, dans le cadre de ses travaux avec ses partenaires, le CCHST héberge et promeut plusieurs de ces outils, y compris Protégeons la santé mentale au travail, Évaluation du leader psychologiquement sécuritaire et Évaluation de la sécurité au sein de l’équipe, ainsi que Stress Assess (évaluation du stress).
Nous aborderons ces évaluations et d’autres ressources plus tard dans notre discussion. En revenant à l’aspect de l’évaluation et en gardant ce thème à l’esprit dans cette série en quatre parties, nous souhaitons aborder d’autres aspects du maintien et de la création d’un milieu de travail sain.
Aujourd’hui, nous prendrons du recul et essaierons de comprendre les raisons pour lesquelles nous évaluons. La réponse à cette question peut varier d’un milieu de travail à l’autre, mais les milieux de travail partagent également beaucoup de points communs. On évalue parce qu’on veut s’assurer que les travailleurs et les milieux de travail sont à l’abri de tous les dangers, tant physiques que psychosociaux. Au fond, nous visons à prévenir tous les dangers dans la mesure du possible et à assurer le bien-être général de notre main-d’œuvre.
Conférencier/conférencière no 1
Merci, Lin. Il s’agit là d’excellents objectifs. Toutefois, les organisations pourraient trouver ces objectifs quelque peu difficiles à atteindre. Comment pouvons-nous les aborder pour qu’ils donnent lieu à des mesures concrètes?
Conférencier/conférencière no 2
Essayez d’imaginer les éléments constitutifs d’un milieu de travail sain comme quatre quadrants ou quatre canaux d’influence au travail. Examinons maintenant le diagramme à l’écran. L’un des quadrants est celui de la santé et de la sécurité au travail, au sein duquel nous protégeons l’environnement de travail physique. Un autre est celui de la santé et de la sécurité psychosociales, au sein duquel nous soutenons l’environnement de travail psychosocial.
Le troisième est celui de la promotion de la santé au travail, qui concerne l’accès à des ressources en santé personnelles. Le quatrième enfin est celui de l’engagement communautaire des organisations, dans lequel nous invitons les organisations à participer à la vie de leur communauté locale. Il est important de noter que ces quatre quadrants ne sont pas des zones distinctes ou séparées. Les zones se chevauchent et doivent être considérées comme faisant partie intégrante de l’ensemble.
Conférencier/conférencière no 1
Dans ce cas, Lin, en quoi peut consister la protection des environnements de travail physiques?
Conférencier/conférencière no 2
Dans la perspective de la santé et de la sécurité au travail, elle consiste à nous concentrer sur la gestion des dangers et des risques physiques afin de prévenir ou de minimiser les maladies et les blessures. Par exemple, nous pouvons nous assurer que les outils et l’équipement sont régulièrement entretenus et bien inspectés afin de prévenir les incidents et les blessures. Cela peut également consister à établir un rythme entre le travail et les pauses approprié pour les personnes qui travaillent dans des environnements de chaleur extrême afin de prévenir les maladies comme l’épuisement par la chaleur ou les coups de chaleur.
Nous avons mentionné plus tôt que les quadrants se chevauchent. La réduction des dangers physiques dans l’environnement de travail aide à réduire la charge mentale de tous les travailleurs, qui n’ont alors plus à se demander si leur sécurité physique est à risque. Cela rejoint la réduction du stress mental en milieu de travail.
Conférencier/conférencière no 1
Et maintenant, Lin, à quoi correspond le soutien aux aspects psychosociaux du travail?
Conférencier/conférencière no 2
L’aspect psychosocial de l’environnement de travail peut être appréhendé comme deux grands domaines. L’un correspond à la culture organisationnelle et l’autre au mode d’organisation du travail. La culture organisationnelle peut être définie comme les attitudes, les valeurs et les croyances qui guident les comportements au travail et influent sur l’environnement de travail au quotidien. La culture organisationnelle se concentre généralement sur les interactions entre les personnes, le travail et l’organisation.
Par exemple, certains facteurs de la culture organisationnelle peuvent être le respect, l’honnêteté et la confiance entre collègues, l’équité dans la manière dont chacun est traité, l’appréciation et la reconnaissance du travail et le soutien à la conciliation travail-vie personnelle. L’organisation du travail couvre, quant à elle, la manière dont le travail est conçu et géré. Il s’agit par exemple de la demande de travail ou de la qualité et de la quantité des communications sur le travail, du contrôle et de l’influence sur la manière dont le travail doit être exécuté.
Ou de la clarté des rôles et des attentes, ainsi que des possibilités de croissance. Lorsque ces facteurs sont absents ou mal gérés dans le milieu de travail, ils peuvent devenir une source de stress pour tout le monde. Par exemple, les organisations devraient tenir compte de l’incidence sur les personnes lorsqu’elles procèdent à des changements dans l’environnement de travail et mettre en place des stratégies et des initiatives pour tenter d’en atténuer les éventuels effets négatifs.
Lorsque les gestionnaires attribuent des tâches, ils ont tout intérêt à communiquer clairement leurs attentes et leurs priorités et à s’assurer que les travailleurs disposent de l’information, des ressources et du soutien dont ils ont besoin pour accomplir leur tâche. Pour revenir à cette idée des quadrants qui se chevauchent, le stress causé par les dangers psychosociaux au travail peut également accroître le risque de blessure physique.
Cela nous ramène au quadrant précédent, dont nous venons juste de parler.
Conférencier/conférencière no 1
Enfin, en quoi peut consister l’accès à des ressources personnelles en santé?
Conférencier/conférencière no 2
Ce quadrant peut également être appelé « promotion de la santé et du bien-être », une expression qui nous est sans doute plus familière. Les programmes de promotion de la santé offrent généralement une approche proactive en matière de mode de vie sain et couvrent un large éventail de sujets comme la vie active, l’alimentation saine ou le soutien individuel en santé mentale. Pour être un peu plus clairs, dans le quadrant précédent, les facteurs psychosociaux couvrent les aspects du milieu de travail qui influent sur la santé mentale de tous, tandis que ce quadrant – l’aspect de la promotion de la santé – met l’accent sur les stratégies individuelles pour conserver une bonne santé et favoriser la résilience.
Ainsi, votre programme de promotion de la santé peut comprendre, par exemple, l’accès à du soutien individuel en santé mentale dans le cadre d’un programme d’aide aux employés ou PAE. Ce quadrant peut également comprendre la mise à la disposition de l’ensemble des employés de ressources éducatives pour améliorer les compétences en communication interpersonnelle ou en gestion des conflits.
Pour revenir encore à cette idée de quadrants qui se chevauchent, la santé et la résilience individuelles ainsi qu’un environnement psychosocial positif se conjuguent pour créer le bien-être de l’ensemble de l’organisation.
Conférencier/conférencière no 1
Passons maintenant au quadrant de la participation des communautés et des entreprises?
Conférencier/conférencière no 2
Eh bien, la participation des communautés et des entreprises peut prendre plusieurs formes. Par exemple, il peut s’agir d’activités de bénévolat ou de la collecte de fonds, voire de la mise en place d’une collecte de denrées et de biens essentiels comme de la nourriture et des vêtements. L’engagement de l’entreprise dans la communauté aide les organisations à mobiliser leur main-d’œuvre à un niveau différent, en dehors de la structure traditionnelle du milieu de travail.
En plus d’offrir aux employés l’occasion d’établir des liens avec leur communauté, l’engagement communautaire peut également améliorer la motivation et le moral des travailleurs. Les dirigeants ou les équipes désignées peuvent par exemple déterminer les causes chères à leurs travailleurs au moyen d’une consultation informelle ou d’un sondage officiel. Une fois les centres d’intérêt des travailleurs connus, vous pouvez commencer à planifier les activités de participation dans la communauté.
Par exemple, vous pouvez trouver ou créer des occasions de bénévolat pour que votre équipe ou votre organisation puisse partager son expertise avec un organisme de bienfaisance local, comme l’aider à créer son site Web ou l’aider à produire ses rapports financiers. Vous pouvez également organiser une collecte de fonds pour une cause locale en rapport avec le secteur d’activité de l’organisation ou avec votre main-d’œuvre.
Et pour revenir au chevauchement des quadrants, une main-d’œuvre en meilleure santé est plus apte à aider sa communauté. Et lorsqu’une communauté va bien, cela se répercute également sur le milieu de travail pour créer une meilleure organisation.
Conférencier/conférencière no 1
Merci, Lin. Examinons de nouveau les milieux de travail sains et, de manière générale, voyons quelles mesures les organisations peuvent prendre pour mettre en place ou améliorer leurs programmes en faveur d’un milieu de travail sain.
Conférencier/conférencière no 2
Excellente question. L’une des manières de traiter les quatre quadrants dont nous venons de parler consiste à créer un programme de santé et de sécurité au travail complet. Qu’est-ce que cela signifie? Un tel programme correspond généralement à une stratégie coordonnée avec des activités pertinentes ainsi que des politiques organisationnelles. Il est généralement élaboré par l’employeur, mais en consultation avec les employés. De plus, le programme vise à aider les organisations à améliorer continuellement et à maintenir la qualité de la vie professionnelle ainsi que le bien-être de la main-d’œuvre.
Les étapes de création d’un tel programme doivent être adaptées à chaque effectif. Un programme complexe peut être indiqué pour une grande organisation comptant plusieurs directions, tandis qu’un programme plus simple peut être préférable pour une organisation plus petite. Parmi les mesures générales qui peuvent être prises pour créer un tel programme, mentionnons d’abord l’obtention du soutien de la direction, suivie de la participation du personnel par l’entremise d’un comité officiel ou d’une consultation informelle.
Vous pourrez ensuite déterminer ou réexaminer les risques et les dangers, ainsi que les centres d’intérêt en matière d’engagement communautaire. Créez ensuite un plan pour répondre aux problèmes mis en évidence, ainsi qu’aux points d’intérêt en matière d’implication dans la communauté. Il est très important d’inclure dans votre plan l’évaluation des résultats.
Une fois le plan en place, vous devez de nouveau confirmer le soutien de la direction à votre plan. Une fois le feu vert obtenu,vous pouvez aller de l’avant et mettre en œuvre votre plan avec ses stratégies, ses mesures de contrôle ou ses initiatives. Il demeure important d’évaluer les résultats de votre plan et de l’améliorer de manière continue en fonction des conclusions de l’évaluation.
Conférencier/conférencière no 1
Nous allons maintenant présenter certaines approches pratiques en matière de milieux de travail sains, y compris les rôles et les responsabilités. Lin, pouvez-vous nous décrire les acteurs impliqués dans la création d’un milieu de travail sain?
Conférencier/conférencière no 2
Sue, c’est ma question préférée, car la réponse est tout le monde. Nous avons tous un rôle à jouer. Par exemple, les employeurs sont responsables de définir les dangers psychosociaux au travail et d’y remédier en améliorant les pratiques de gestion, les systèmes de communication et les structures de participation. Parallèlement, les travailleurs sont également responsables de suivre les politiques de leur organisation et de participer aux activités de détermination des dangers ainsi que de présenter des rétroactions et de communiquer toutes les difficultés qu’ils rencontrent.
Il est également nécessaire et avantageux de mobiliser votre comité de santé et de sécurité au travail ou votre représentant en matière de santé et de sécurité, car nous avons tous une responsabilité partagée dans ce domaine. Il n’existe pas de méthode unique pour créer un milieu de travail sain, car chaque lieu de travail est différent, qu’il s’agisse des personnes qui effectuent le travail, des tâches à effectuer, des dirigeants qui gèrent l’organisation, de la taille de l’organisation, des environnements externes qui influencent la communauté ou des ressources externes dont dispose l’organisation.
Tous ces facteurs ont un rôle à jouer pour influer sur la santé mentale et le bien-être au travail. Il est normal de ne pas pouvoir tout régler en même temps lorsque le temps et les ressources sont limités. Les organisations peuvent commencer à petite échelle et évoluer vers une prévention et une promotion générales.
Commencer à petite échelle peut consister à ajouter un engagement de votre organisation à l’égard de la santé et de la sécurité psychologiques dans votre politique générale de santé et de sécurité, ou à former les dirigeants sur une méthode de gestion qui favorise la santé et la sécurité psychologiques. Cela peut également consister à recueillir les commentaires de tous les travailleurs, dans le cadre de réunions et rencontres régulières, sur les mesures que le dirigeant peut prendre pour mieux soutenir son équipe ou sur l’information ou les ressources dont l’équipe a besoin pour accomplir ses tâches.
Nous approfondirons ce sujet lors de notre troisième événement en février.
Conférencier/conférencière no 1
Merci pour cet aperçu du futur, Lin. Pour ce qui est des mesures qui assurent un environnement de travail favorisant la santé et la sécurité psychologiques, voici quelques exemples pour encourager chacun à partager et à recevoir différentes opinions et suggestions afin d’aider à créer un milieu de travail sécuritaire sur le plan psychologique et à améliorer le travail d’équipe.
Ces ressources se trouvent donc sur notre portail Santé mentale. Il s’agit d’outils pédagogiques que vous pouvez utiliser dans votre milieu de travail. L’autre exemple que nous avons ici, c’est que vous encouragez probablement déjà tout le monde à être respectueux et attentionné dans les interactions avec les autres afin de favoriser la stabilité, le respect, la gentillesse et l’empathie. Ce sont là les pierres angulaires des interactions de confiance et fonctionnelles entre les membres d’une équipe. Vous pouvez voir ici quelques autres exemples que nous avons fournis.
Je me sens à l’aise pour m’exprimer. Nous agissons contre la violence et le harcèlement. Cela signifie que, quel que soit le type de problème, que le problème concerne le travail ou les relations interpersonnelles, vous proposez un espace sûr aux travailleurs pour discuter du problème avec leur direction, leur représentant du comité de santé et de sécurité ou, le cas échéant, leur représentant syndical. Songez à l’effet que cette application uniforme de prévention du harcèlement et de la violence pourrait avoir sur votre organisation.
Ce n’est que l’un des facteurs que nous aborderons, comme le disait Lin, dans nos prochains webinaires.
Conférencier/conférencière no 2
Je connais cette impression que l’on peut avoir parfois de manquer de temps ou de ressources pour transformer notre enthousiasme en action, mais la protection de la santé et de la sécurité psychologiques et la promotion du bien-être psychosocial au travail sont des processus continus et il ne faut pas hésiter à commencer à petite échelle. La clé est de poursuivre son chemin vers un objectif et de persévérer. Persévérer dans le processus et, ce que j’aime vraiment, s’armer de patience, car le changement ne se produira pas en un jour ni en une semaine ni en un mois; c’est dans la continuité que les améliorations se produisent.
Comme nous l’avons mentionné plus tôt, si vous souhaitez obtenir de plus amples renseignements sur les outils d’évaluation de la santé et de la sécurité psychologiques, consultez notre écran dès maintenant. Voici quelques-uns des outils offerts par le CCHST sur son portail Santé mentale au travail. Chacun de ces outils mesure la santé et la sécurité psychologiques au travail, mais à différents niveaux.
De plus, des ressources éducatives et de l’information sont disponibles en dehors de l’évaluation, au cas où votre organisation n’en serait pas encore à l’étape de l’évaluation. Et l’ensemble des outils d’évaluation et des ressources sont tous offerts gratuitement. Nous voyons à l’écran l’outil Évaluation de la sécurité au sein de l’équipe
Il s’agit d’un nouvel outil qui permet aux dirigeants de recueillir les points de vue de leur équipe sur le sentiment d’appartenance, les interactions de l’équipe et le soutien du leadership, autant de facteurs qui peuvent influer sur la santé et la sécurité psychologiques au travail. Les dirigeants recevront un rapport contenant des propositions de mesures pour les aider à lancer un dialogue afin d’améliorer la cohésion au sein de leurs équipes ainsi que l’efficacité des équipes. L’outil Évaluation du leader psychologiquement sécuritaire, qui a récemment été mis à jour, aide les dirigeants à effectuer une auto-évaluation et à recueillir les commentaires éventuels de leur équipe par rapport à leurs stratégies de leadership.
L’outil offre également un rapport à 360 degrés aux dirigeants et les aide à définir les possibilités de croissance. L’outil Web Protégeons la santé mentale au travail a également été mis à jour récemment et vise à évaluer au niveau organisationnel les perceptions des employés sur tous les facteurs qui pourraient influer sur leur santé mentale au travail. Il existe également Stress assess, qui mesure les facteurs psychosociaux personnels et organisationnels sur une variété de dimensions.
Et bien sûr, nous avons des outils Web adaptés à des communautés particulières, comme vous pouvez le voir ici, qui concernent la protection des travailleurs de la santé et de la communauté paramédicale.
Conférencier/conférencière no 1
Merci encore, Lin, pour cet aperçu des milieux de travail sains et pour les exemples de mesures pratiques à prendre pour inscrire la santé mentale dans les programmes, les activités et les pratiques de santé, de sécurité et de bien-être en général.